Effectifs

Civilians : 8 (4 ♀ | 4 ♂)
Hyperion : 5 (3 ♀ | 2 ♂)
Rebels : 4 (1 ♀ | 3 ♂)
Vault Hunters : 8 (3 ♀ | 5 ♂)

Opinion des pandoriens

Hyperion Rebels
Welcome to Pandora

Le staff vous souhaite la bienvenue !

Pensez à faire un tour par
les recherches de RP

Votez et venez récupérer vos crédits !

Ils vous attendent


Et bien d'autres encore

-14%
Le deal à ne pas rater :
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 – RAM 8Go/SSD 256Go
799 € 930 €
Voir le deal

 :: HYPERION DATABASE :: DOSSIERS ACTIFS :: PRESENTATIONS VALIDEES :: PRESENTATIONS REBELS Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Mad World
Venancia M. Casarez
Age : 46 ans
Miscellaneous : De nature calme, dirons nous posée, Ven n'en est pas moins très observatrice. Elle écoute avant de parler et ne parle généralement pas pour ne rien dire, si ce n'est pour remettre à leur place ceux qui le méritent. Pince sans rire ? Un soupçon oui. Intelligente, assoiffée de connaissances, la quadragénaire n'en demeure pas moins humble et prête à aider quiconque en aurait besoin. Elle est digne de confiance mais nécessite tout autant avoir confiance en ceux qu'elle côtoie pour se livrer pleinement. Hyperion ? Elle a vécu auprès d'eux jadis, elle a eu le temps de les observer, de les jauger, ne retirant de ce spectacle qu'un arrière goût amer qui l'a poussée à revoir ses convictions et donner un autre sens à son existence qu'elle espère mettre à profit dans la cause Rebelle.

Pouvoir : Visions télépathiques. A l'aide d'un bracelet, semblable à celui qu'elle porte en permanence, Ven peut s'infiltrer dans l'esprit du porteur pour voir à travers son regard durant quelques minutes.
Localisation : Safe Haven
Date d'inscription : 15/04/2021
Rebels | Administratrice
Venancia M. Casarez

Venancia M. Casarez
ft. Angelina Jolie


Âge & Année de naissance : 46 ans née en X187 à Opportunity

Type : Siren

Profession : Enseignante

Groupe : Rebels

Pouvoir ou Amélioration : Vision Télépathique : Une projection de l'esprit qui quitte le corps de l'hôte pour rejoindre celui d'un tiers. Ici, Venancia ne peut en user que grâce à un système capable d'émettre les ondes nécessaires au voyage de son esprit vers celui de la personne qui le porte. Sans lien fort avec la personne, il lui est impossible de se projeter dans son esprit pour voir à travers les yeux du sujet. L'ouvrage est fastidieux, éprouvant mais uniquement pour elle, une grande fatigue survient alors dès que son esprit rejoint son propre corps davantage encore qu'elle demeure vulnérable (corps en veille) lorsqu'elle se projette dans l'esprit d'un autre.

Voir à travers le regard d'un autre ne dure que quelques minutes, trois à quatre au grand maximum, à contrario la fatigue lorsqu'elle reprend le contrôle de son propre corps peut s'étendre de deux heures à bien plus selon la résistance de l'esprit dans lequel elle s'est introduit.

Le dispositif : il s'agit d'un bracelet, semblable à celui qu'elle porte en permanence, essentiellement fait à base d'erridium et de circuits imprimés, capable d'émettre les ondes nécessaires, amplifiées par le minerais, pour le "voyage". Elle n'en possède que deux autres en plus du sien.
Caractère


Sereine - Sensible
Fidèle - Strict
Bienveillante - Taciturne
Observatrice - Tenace
Digne de confiance - Soupçonneuse

Anecdotes (facultatif) : Ne s'est jamais mariée, n'a jamais eu d'enfant, à son humble avis, on aime qu'une fois dans une vie, tout le reste n'est rien en comparaison du premier battement de coeur ressenti à l'égard d'un autre.

Physique & Equipement

Taille : 1m70.
Poids : 57kg.
Yeux : Gris/Verts.
Cheveux :  Bruns.
Signes particuliers : Ses tatouages d'erridum, essentiellement esquissés dans le dos et jusqu'au creux des reins, ne les voient que ceux qu'elle estime digne de confiance. Son bracelet qu'elle porte en permanence pour utiliser son pouvoir.
Armements : Un revolver Dastardly Amazin Grace. Un couteau papillon.

Histoire

Commençons pas la fin, car il y a souvent du positif à la fin d'une histoire, sauf si celle si se termine mal j'en conçois. La mienne, elle poursuit sa route, et j'espère qu'elle se terminera bien, que les choses auront évoluées, qu'elles continueront dans ce sens et qu'elles ne stagneront plus comme il en a été cas durant très, trop, longtemps.

La rébellion, à l'origine je voyais en elle une belle et grande famille, un idéal bien plus proche du miens que ne l'était et ne le sera jamais Hyperion. J'y suis entrée il y a dix ans grâce à une femme qui, au delà de son apparence excentrique, dispose d'un cœur sans doute plus gros que la planète elle même. Et même si j'avais conscience, depuis des années déjà, qu'il ne fallait pas se fier aux apparences, il m'a semblé qu'elle était, et serait toujours, le parfait exemple pour appuyer ce proverbe et ce de la plus belle des manières qui puissent exister. Patsy Redmington, le parfait exemple d'une rebelle exemplaire, un cœur immense, un sourire rubicond capable d'enjôler qui s'y perd, un esprit brillant et des idées toutes plus fabuleuses les unes que les autres. Je la qualifierai de belle personne, trop belle sans doute pour le monde dans lequel la vie a décidé de la catapulter mais au delà, si elle n'avait pas vécu tout ce que l'existence lui a imposé, j'imagine qu'elle n'en serait pas là à l'heure actuelle et que, évidemment, il manquerait donc ce cœur au mouvement auquel je me suis joint dix ans plus tôt.

Patsy m'a accueilli sans me juger de part mon ancienne appartenance, elle n'a vu en moi que ce que là-bas personne ne voyait ou, du moins, s'ils le voyaient, ils espéraient sans doute le tasser, l'étouffer, en faire une force pour écraser ceux qu'ils détestent et qui se jouent de leur projet. Patsy m'a souvent écouté, elle m'écoute encore, sans quoi je ne serais sans doute pas décisionnaire en ce qui concerne le nouveau projet de la cause : l'éducation ? Non, je n'éduque personne, je me verrais davantage comme un guide, capitaine du vaisseau de l'enseignement en partance pour éveiller l'esprit d'autres qui n'ont jamais pu connaître les chemins que j'ai eu la chance d'arpenter.

Le savoir, la curiosité, à mes yeux ils ne font qu'un, et sans cela on ne sait pas la moitié des choses que le monde veut nous offrir, on ne les connait pas, on ne dispose pas de tous les choix possibles face à une situation X ou Y. Et ce n'est pas présomptueux de ma part, loin de là, car si Hyperion dispose de tout ce qu'il est possible d'imaginer, dont un système d'enseignement plus performant que tout ceux que Pandore elle même pourrait imaginer, j'estime que la Rébellion, ainsi que tous les civils de cette planète, ont droit d'en jouir à leur tour. C'était l'idée de Patsy lors de cette réunion qui date aujourd'hui de quelques mois, et si je n'ai pas dit un mot durant l'échange, que je me suis contentée d'écouter et d'observer, de ruminer sans doute les heures qui c'en sont suivi, je trouvais le projet parfaitement réalisable.

La guerre, les frappes en tous genres, le jeu du chat et de la souris, tout ça ne fera en rien taire une firme bien plus fortunée que nous ne le seront jamais, mais bâtir une nation, prendre l'exemple de ce qu'ils ont fait, en laissant ainsi le choix aux personnes neutres, sans leur imposer l'unique voie vers l'écusson blanc et or, comme une véritable concurrence, c'était sans doute une réelle promesse d'avenir. Un véritable espoir de renouveau, une véritable épine dans le pied de ceux pour qui, par le passé, j'ai travaillé.

Voilà donc les raisons pour lesquelles j'ai choisi la rébellion dix ans plus tôt et pourquoi j'imagine que mon histoire se terminera bien. J'ai foi en ce mouvement, j'ai foi en ces gens qui le constituent et œuvrent pour lui, j'ai aussi l'espoir que nous y arriverons, que nous reprendrons le contrôle de nos vies et que dans quelques temps, peut-être pas aussi vite que certains le désireraient, nous ne seront plus dirigés par des personnes viles et avides de richesses et pouvoirs. Mon histoire se terminera bien et ce même si le rôle que j'y tiens ne marquera sans doute pas les esprits. Un pied de nez aux prémices de mon existence toute tracée qui remonte à quarante six ans déjà. Vous verrez en lisant mon passé, vous comprendrez que rien n'est impossible et que les douleurs ne sont bien que cela, aussi éphémères que l'existence elle même, qu'on est capable de s'en relever et de vivre avec sans seulement survivre.

Je suis née à Opportunity. Ma mère avait ce don, un don forgé par Hyperion elle même, un don qu'elle avait obtenu dans la douleur, les pleurs, le sang. Un don qui servait la firme, un don qui effrayait les gens. Ce don, et bien que mon père n'en ait eu aucun, elle me l'a transmis à la naissance. Un héritage que j'avais la chance d'acquérir sans souffrir, sans pleurer, à contrario de ce qu'elle avait subi pour le posséder. A cette époque, la modestie d'une famille, pour ne pas dire la pauvreté, ne lui permettait presque rien sinon suivre l'unique chemin qui se présentait à elle : Hyperion. Ma mère y travaillait donc, comme mon père, c'est ainsi qu'ils se sont connus, ainsi que leur amour est né et que j'ai pu voir le jour. Au bas de l'échelle sociale de la firme, ils n'étaient que de simples ouvriers dans les ateliers robotiques de l'entreprise, du moins jusqu'à ce que ma mère soit enrôlée au sein d'une expérience visant à "construire", de toutes pièces, les sirènes qui jadis étaient naturelles. Contre une contrepartie financière plutôt appréciable, lui promettant un plus bel avenir, elle devait se plier aux expériences visant à la transformer en ce que beaucoup de gens en ce monde redoutent encore : une siren.

Je suis née cinq ans plus tard, le don de ma mère au creux des veines, ignorant tout de ce marché qui pourtant, et au delà de l'horreur subie par la femme qui m'a donné le jour, m'a servie plus tard. Sans cela, sans le sacrifice d'une femme, je n'aurai peut-être pas l'esprit que j'ai aujourd'hui. Je n'aurai peut-être pas pu donner corps à ce que j'espérai faire de mon existence, je n'aurai peut-être pas pu me plonger si souvent dans de nombreux ouvrages passionnants qu'on n'aurait sans doute pas eu les moyens de se payer sans l'influence d'Hyperion. Vous me direz alors que je dois tout à la firme ? Mais non, je dois tout à ma mère qui à souffert pour que sa fille, qu'elle n'imaginait même pas avoir à cette époque, puisse jouir d'une existence plus confortable que celle qu'elle lui aurait offert à l'origine. Au delà, même si la prime n'était pas mirobolante, qu'il était parfois difficile de joindre les deux bouts, je n'ai manqué de rien et encore moins de la tendresse d'un père et d'une mère. J'étais leur fierté, je le ressentais et j'espérais ne jamais les décevoir. Sur mes épaules, à peine âgée de douze ans, j'imaginais leur rendre tout ce qu'ils m'avaient offert en se privant parfois. Un statu, une vie digne de ce nom, le tout en me plongeant dans quelques ouvrages, en m'intéressant à tout ce que le monde pouvait offrir, à la connaissance que j'imaginais intriguer d'autres que moi.

Lorsque j'ai eu dix huit ans, après avoir eu la chance d'étudier dans les écoles subventionnées par la firme, j'ai donc rejoint un cursus visant à faire de moi l'une de leurs enseignantes futures. A coté de cela, ma mère m'enseignait comment utiliser le don que nous partagions, comment en prendre soin, comment ne pas le voir comme une arme mais bien comme un moyen de choisir ce que serait mon avenir, de faire des choix, les meilleurs sans doute, et d'aider quiconque en avait besoin à se rapprocher de la meilleure option se présentant à lui. Comment me protéger tout autant. Elle m'a offert trois bracelets, précieux de par leur coût, mais plus précieux encore car ils me seraient liés. Erridium et technologie, de quoi offrir à qui porterait l'un des deux, qui n'ornait pas mon poignet en permanence, un lien particulier avec moi. De quoi me permettre de voir à travers son regard et de potentiellement l'aiguiller au besoin. Elle m'a enseigné que la confiance, une confiance sans faille, était la clé pour savoir à qui offrir ce "bijou". Sans doute que sa manière de m'inculquer ça, depuis l'apparition de mes marques deux ans plus tôt, m'a poussé sur la voie de l'enseignement d'ailleurs. Allez savoir, l'esprit humain est si complexe que personne n'a encore su en faire le tour.

Dans ce cursus, au delà des heures d'apprentissage, j'assistais quelques professeurs durant leur labeur. J'observais, j'écoutais, un peu comme pour ensuite les imiter lorsque je serai seule face à leur classe. C'est grâce à l'un d'eux que j'ai aussi trouvé un refuge agréable dans l'art musical, ainsi que j'ai pu apprendre - là où d'autres n'auront peut-être jamais cette chance - le violon. Ce fut difficile, mais pas impossible. Mais là n'est pas la question, j'observais donc mes mentors, mais tout autant les élèves parfois bien plus âgés que moi. Je n'avais que vingt ans quand j'ai pu faire cours pour la première fois, c'était un genre de test de la part de mon mentor, un test qui vu mon jeune âge ne s'est pas avéré concluant étant donné les quelques boutades que l'un des jeunes de vingt cinq ans a lancé tout le long de cette heure. Quand j'en suis sortie, c'était plus démoralisée que je ne l'étais une heure plus tôt. Pourtant ce même étudiant m'a approché et de fil en aiguille, de jour en jour, au grès des semaines puis des mois, non contente de trouver comment me faire respecter, j'ai ressentie, pour la toute première fois, ce battement de cœur indescriptible, celui qui change tout et qui balaye jusqu'à votre propre jugement. Ce simple tintement d'un organe étroitement lié à la vie, ce simple tintement était, me semblait-il à l'époque, le plus important de tous, le plus beau. J'étais jeune, bien plus que lui, j'étais sensée aussi, bien plus que lui. Et si je l'aimais pourtant, je n'aimais pas réellement ce qu'il était, ce à quoi il appartenait, tout autant qu'auprès de lui je prenais conscience qu'Hyperion n'était en rien ce que la propagande tentait de vendre au monde entier.

Ce n'était qu'une image, une illusion, j'y avais été bercée depuis ma naissance, mais en ouvrant les yeux, plus rien ne me semblait bon et plus rien ne l'était. Une usine vers la mort, la dévastation, le pouvoir. Ce n'était pas ainsi que je voyais le monde, pas du tout. Lui en profitait, pouvoir, richesse opulence, il n'avait pas du tout les mêmes idées, pas du tout la même vision d'un avenir ou chacun était l'égal de l'autre. Alors je suis partie, je l'ai quitté comme j'ai quitté la firme. J'avais vingt deux ans. Je me suis contentée de petits boulots, essentiellement en rapport avec les ouvrages, la connaissance. Les bibliothèques me semblaient les meilleurs endroits pour ne rien perdre des choses que j'avais apprises, pour au contraire les étoffer encore. Durant treize ans. Ce n'est que lorsqu'un drame s'est produit dans l'usine Hyperion, où travaillaient mes parents, que j'ai compris que ne rien faire ne ferait rien évoluer. Ma mère et mon père sont morts en faisant leur travail, j'avais trente cinq ans. Je n'étais pas mariée, je n'avais pas d'enfant, simplement l'impression de ne plus rien avoir, de plus rien ressentir sinon la douleur. J'ai cherché un sens à tout ça, un sens qui n'existait pas. Mais il y avait un espoir, un espoir dans les gens que j'ai rejoint et dans la cause qu'ils défendaient et défendent encore... La Rébellion.

Dix ans maintenant, dix ans que j'ai pu apprendre d'autres choses que ce que les livres et ma famille ont pu m'inculquer. Dix ans que parfois je me plais à agir plutôt qu'à faire uniquement confiance à la théorie. Dix ans que j'ai appris à me servir d'une arme, dix ans que les choses me semblent plus clairs même si ma vie privée n'aura jamais plus le sens que j'imaginais lui donner avec un homme qui, malgré son appartenance, m'a ouvert les yeux et qui, au delà du mal de réaliser qui il était, n'a jamais cessé d'exister dans ce cœur qui ne battra jamais plus comme il a tinté pour lui. Dix ans oui, et neuf ans que Patsy détient l'un des deux bracelets qui me lie à elle et me permet de l'aider au besoin. Vous allez me demander où est l'autre "bijou" que je possédais, ... la réponse est simple, je ne l'ai jamais récupéré, il est encore avec le passé alors que moi je suis tournée vers l'avenir.

A votre propos

Pseudonyme : Melou
Âge : Mad World 2244795636
Comment avez-vous connu le forum et qu'en pensez-vous : C'est vilain vilain
Que mangent les Skags ? Ok Max
Un petit mot pour la presse : Kamoulox ?






NOM & PRÉNOM DU PERSONNAGE (pseudo complet) : Venancia Montalvo Casarez
NOM DU PERSONNAGE : Casarez.
PRÉNOM DU PERSONNAGE (Prénom principal) : Venancia.
MÉTIER : Enseignante
CÉLÉBRITÉ CHOISIE : Angelina Jolie.


Jeu 15 Avr - 20:21
Revenir en haut Aller en bas
Savanah Grey
Age : 39 ans
Localisation : Sanctuary
Date d'inscription : 11/10/2020
Hyperion | Reine des neiges
Savanah Grey
Mad World 2972020374
Jeu 15 Avr - 20:24
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité
Tellement contente de retrouver ma Venancia!
On va faire des grandes choses toutes les deux!

Euh enfin c'est la poil de carotte qui le dit
Jeu 15 Avr - 21:12
Revenir en haut Aller en bas
Darren Walsh
Age : 45 ans (né en x187)
Miscellaneous : Bookmaker et ancien marchand d'armes, Darren aime qu'on respecte sa parole ○ La maison fait rarement crédit mais quand c'est le cas, la dette doit être honorée ○ Sanguin, il n'en reste pas moins un bon gars dans l'âme, il a juste dû s'adapter à cette planète, comme dirait l'autre adapt, evolve, survive ○ Père de deux jumeaux (10 ans), un garçon (Niall) et une fille (Brona), il n'y a bien qu'eux qui voient son côté père poule même s'il les laisse un peu faire leur vie avec son assistante, Mamzelle Hortense, 75 ans
Date d'inscription : 24/03/2020
Civilians | Fondatrice
Darren Walsh
Bon bah t'es officiellement plus nombreuse que moi dans ta tête ... quoique XD
Ven 16 Avr - 6:53
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité
"La folie et la schizophrénie rpgique, quelles conséquences ? Bonne et mauvaise." Vous avez 4 heures !!
Ven 16 Avr - 8:51
Revenir en haut Aller en bas
avatar
Invité
Invité



Welcome To Pandora


Félicitations, vous êtes désormais validé !!!! Il est temps de RP, de vous créer des liens et de développer l'histoire de votre personnage !

Tu passes par ici mais c'est vrai que ça reste une belle formalité. Venancia est vraiment belle et ton histoire est vraiment super. Ça file quand même beaucoup de complexe au vu de ta plume ^^ (comme beaucoup se trouvant ici !) En tout cas, j'adore ce système de télépathie, c'est nouveau et c'est cohérent, j'adore !

Informations :

- Si vous avez des questions au sujet de votre groupe, n'hésitez pas à interroger, via MP, Maxine.
- Allez faire un tour du côté des annexes, vous pourrez y ouvrir un sujet personnel où créer et alimenter votre fiche RPs.
- Vous vous sentez seul dans cet immense univers, vous avez besoin de liens particuliers pour faire évoluer votre personnage ? C'est par ici que vous pourrez vous constituer un entourage. Vous pouvez y ouvrir un sujet personnel où créer et alimenter votre fiche de liens.
- Le système de communication de Pandore s'offre à vous juste ici ! Ouvrez votre sujet ECHO.net et restez joignable même dans les coins les plus reculés de la planète !
- Si vous voulez vous lancer directement dans l'aventure, les recherches de RP sont ouvertes !
- Si vous le souhaitez, vous pouvez demander une balise de dialogue personnalisée.
- Afin de pouvoir prendre part aux RPs animés par L'Ange, il vous faudra lire ce sujet si ce n'est pas déjà fait et passer par-là afin de faire valider les caractéristiques et capacités de votre personnage !
- Et, le plus important, amusez vous !!!


Code by FRIMELDA


Ven 16 Avr - 10:40
Revenir en haut Aller en bas
Jamal A. Brown
Age : 46 ans
Localisation : Quelque part sur Pandore
Date d'inscription : 01/03/2020
Vault Hunters | Madness King
Jamal A. Brown
Re What a Face
Dim 18 Avr - 21:00
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Sauter vers: