Effectifs

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Hyperion : 5 (3 ♀ | 2 ♂)
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I fell into a burnin' ring of fire
Donovan M. Harvey
Age : 38 ans (né en X194)
Miscellaneous : Branleur, flambeur, dragueur, et bagarreur. Plutôt du type sang-chaud, quand il s'agit de partir en mission Donovan sait garder son sang-froid. Son coeur bat de travers depuis qu'elle est plus là. Sa cause vacille, la vengeance le fait rêver et l'alcool le fait tenir. Son fusil de précision c'est un prolongement de son bras. Bref, vous êtes sûr de vouloir l'emmerder à ce grand con ?
Localisation : Safe Haven principalement
Date d'inscription : 15/08/2019
Rebels | Fondatrice
Donovan M. Harvey


Donovan Mason Harvey
ft. Joseph GILGUN


Âge : 37 ans, né en X194

TYPE : Humain

Profession : Mécanicien à la gâchette facile

Groupe : Rebels

Pouvoir ou Amélioration : Rien, j'en ai pas b'soin



Qualités et défauts : Déterminé - Combattif - Drôle - Fidèle - Hédoniste / Impulsif - Joueur- Coureur - Gaffeur - Abrupt
Caractère

« Et tu vois dans le fond, la vie c’est rien de plus qu’un énorme coup de poker. »
Soufflant la fumée de sa cigarette avant de jeter le mégot à ses pieds pour l’écraser, Donovan regardait la peluche de lama en face de lui. Il tenait cette discussion sérieuse avec cette peluche, tous les jours à la même heure, comme un rituel. Les adolescentes en rut écrivaient des journaux, lui il parlait à cette peluche que lui avait offert Joey. Il aimait cette peluche, elle était comme lui, douce, mignonne et pleine de philosophie. Sous cette épaisse couche duveteuse, cette peluche était une boule de douceur et d’optimisme. Comme Donovan, qui même dans cette merde internationale voyait toujours le bon côté des choses.
« Les filles ont pas disparu, tant qu’il y aura des filles, il y aura de l’espoir, je sais que t’es d’accord avec moi, enfin tant qu’il y a cette fille. » Ah les filles, elles sont belles, elles sont bonnes, elles sont connes. Pas toutes, mais Donovan il s’attarde pas vraiment sur ce qu’elles sont dans le fond, lui il aime juste les regarder, les charmer, et avant de se poser, il aimait les mettre dans son lit …  
« Et puis tu sais, fumer, boire, pourquoi on s’en passerait, c’comme les filles. Ça rend cette vie moins monotone, j’préfère vivre 50 ans d’une vie bien remplie que 80 d’une vie de moine. » Le plaisir, toujours, sous toutes ses formes, sous toutes leurs formes (aux filles) ? Pourquoi se prendre la tête, on passera tous l’arme à gauche à un moment, autant en profiter au maximum avant.
« Il m’a demandé d’aller faire un tour pour surveiller les alentours, mais j’étais sur un gros coup, alors je lui ai dit qu’il pouvait aller se faire voir. » La discipline à échelle variable. Il y a ceux que Donovan écoute religieusement, ceux qui sont des modèles pour lui, et puis il y a ceux dont il a rien à cirer. Pour les premiers, il donnera tout, il sera le meilleur ami, le meilleur allié, le meilleur soldat. Faute d’avoir des parents, il a eu des entraineurs mais c’est pas ça qui l’a transformé en parfait petit soldat, après tout, on fera jamais d’un âne un cheval de course.
« Mais dis-moi, t’aurais pas un peu grossi toi ? T’as vraiment une sale tronche. » La délicatesse c’est pas pour lui, la discrétion non plus. Evidemment il ira pas jouer de la trompette au milieu d’une mission pour les grands chefs, mais s’il voit que la nana d’à côté voit plus ses pieds, il va forcément lui demander comment va le bébé. Les sentiments des autres, on s’en fiche un peu, non ? Pensez même pas à lui confier un secret, Donovan oublierait que c’est un secret.
« Et est-ce que je t’ai raconté l’histoire du pingouin qui respirait par le trou de balle ? Bah un jour il s’est assis et il est mort. » Il peut se rouler par terre avec ses blagues à la con, parfois elles font rire que lui, parfois il déclenche l’hilarité générale, ou presque. Donovan aime plaisanter, pourquoi se prendre la tête avec trop de sérieux ? Et puis ça fait du bien de relâcher la pression par moment.
« Mais là le gars, il m’a regardé de travers et il nous a menacé. Il l’a regretté. » Personne l’emmerde, personne l’arrête. Donovan n’aime pas qu’on touche à ses rares proches, même Serge, son lama en peluche. Il aime pas vraiment se battre mais il a pas de soucis à le faire quand c’est nécessaire. Parfois même il cogne trop vite au lieu de parler. Quel meilleur moyen de dire « ta gueule » que de coller un pain à son voisin ? Les conséquences … On verra plus tard.
« J’sais pas si on réussira mais ça vaut l’coup d’tenter non ? Faut leur faire mordre la poussière, à Hyperion et à tous ceux qui lui ont fait du mal. » Sa connerie n’a d’égale que sa détermination. Donovan peut être un gros con, il a l’humour lourd, il aime trop les femmes, il aime trop l’alcool et il aime trop ces foutues clopes. Mais Donovan quand il a une idée en tête, y’aura personne pour l’en dissuader. Et si vous êtes dans la merde jusqu’au cou, littéralement ou non, il sautera tête la première pour vous en tirer, essayez pas de le retenir.
« J’te le redis Serge, la vie c’est rien de plus qu’un énorme coup de poker. » Le jeu, les jeux. Au saloon ou ailleurs, les paris, c’est son truc, même s’il y en a un qu’il regrettera toujours. « Pile tu perds, face je gagne. »

Physique

Prenez une grande tige, sèche comme pas permis, la peau tannée par le soleil brûlant qui assèche chaque parcelle de terre, ajoutez-y une chiée de tatouages et voilà, vous avez un aperçu de ma gueule d’abruti ! J’ai rien d’une montagne de muscles mais faut pas vous y fier, j’sais m’battre, j’ai appris dans la rue, paraît qu’c’est la meilleure école qui soit pour ça ! J’suis pas un beau gosse non plus, mais quand t’as d’l’assurance à r’vendre, t’as pas besoin d’avoir l’air d’un Apollon pour qu’toutes les nanas tombent comme des mouches.
Bref pour vous en dire plus, j’suis assez grand, vers le mètre quatre-vingt, et plutôt sec, à tout péter soixante-cinq kilos. J’suis brun et j’ai les yeux gris, le sourire d’abruti trop sûr de lui ou celui qui vous met mal à l’aise, à vous d’choisir.
J’me trimbale toujours habillé n’importe comment, mais j’trouve ça classe, chemises à fleurs, col pelle à tartes, jean, pantalon en toile, jogging, bref, j’mets c’que j’trouve – et là j’parle bien des fringues hein – et surtout j’quitte jamais le confort de Safe Haven sans mon fusil de précision Penetrator, merci Dahl pour l’avoir fabriqué. C’est un prolongement d’mon corps, le genre qui t’colle le feu au cul et pas comme t’aimerais. J’rate jamais ma cible, et quand j’ai plus d’munitions, j’ramène mes soixante-cinq kilos dans ta face pour te refaire le portrait, parce que j’ai pas froid aux yeux.

Histoire

X194, Lynchwood, ça place le décor v’voyez … J’suis né de parents inconnus, sans doute que ma mère était trop déchirée pour se souvenir qui était mon paternel, sans doute qu’elle était trop pauvre pour m’garder, donc elle m’a déposé devant la porte d’un bâtiment sans vraiment savoir où, sans savoir qui vivait là-dedans. Si elle avait su, elle aurait peut-être fait autrement, fait mieux, mais là, elle a juste chié dans la colle, enfin j’m’en suis pas trop mal sorti mais ça vous l’verrez plus tard, sautons pas les étapes. Ce bâtiment devant lequel elle m’a déposé juste enroulé dans un vieux linge dégueulasse, c’était celui d’un groupe de bandits de la région. Ils avaient plus ou moins la main mise sur la ville, en sous-marin quoi. Ils m’ont ramené à l’intérieur, m’ont nourri, ils s’sont occupés d’moi j’vais pas vous dire le contraire, ils ont pris soin de moi et de mon éducation.

Mon éducation du coup c’était surtout d’apprendre ce qu’on apprend pas dans les écoles huppées de Sanctuary ou d’Opportunity, c’qu’ils m’ont appris c’est plus la merde qu’on découvre sur le tas dans Down-Town ou Fyrestone. Ils m’ont appris à voler dès que j’ai été en âge, pas en planer hein, à détrousser les plus riches, façon bandits de grands chemins ou plus en ninja. Et ma vie c’était ça jusqu’à X208, quand une gamine a rejoint le groupe. J’me suis pas trop inquiété de comment elle était arrivée là, juste qu’elle avait l’air d’un souillon, et v’nant d’un gamin rachitique comme moi, ça voulait dire un truc v’voyez. Joey qu’elle s’appelait, et à ce moment-là j’savais pas encore que ça serait la nana la plus importante de ma vie. Mais là encore brûlons pas les étapes.

J’continuais d’apprendre tout ce que la racaille de Lynchwood pouvait m’apprendre, c’que les filles de peu de vertu de Lynchwood pouvaient m’apprendre aussi. Et en faisant tout ça, j’commençais à me prendre d’affection pour cette gosse maigrichonne, qui trimballait tout le temps sa peluche avec elle. Y’avait des gosses dans le groupe qui la chahutaient un peu et ça m’plaisait pas de voir ça, Jo’ elle avait ce truc sur le visage qui disait qu’elle avait vécu pas mal de merdes et j’voulais la protéger, lui éviter d’en vivre de nouvelles. Rag, c’est comme ça que je l’appelais, et que j’l’appelle toujours, ma jolie poupée … Rag Doll ouais … ça lui va bien. Pardonnez mon sourire abruti, c’est plus fort que moi.

Bref, dans l’bled y’avait aussi ce vieux bizarre, le genre un peu azimuté, Eugene Daft qu’il s’appelait, qui m’apprenait à bricoler, à tirer aussi. Il bossait pour Hyperion avant apparemment, il était ingénieur, mécanicien, j’ai jamais trop compris mais il s’y connaissait en ClapTrap et en porteurs, il s’y connaissait pas mal en armes aussi. Par contre vu sa tronche, il d’vait pas s’y connaître en nana, alors que moi, j’les enchainais, ça devenait compliqué d’en trouver une potable à Lynchwood que j’ai pas déjà sauté … Quoiqu’il en soit, j’apprenais à tirer, dans tous les sens du terme. J’me faisais un beau p’tit pactole en bossant pour la bande, avec ce que j’arrivais à leur voler à eux et à gagner pour moi, dans les jeux notamment, j’voulais qu’on s’barre Jo et moi. Elle méritait mieux que cette vie ma poupée de chiffon.

Mais vous savez comment c’est, quand on est jeune, on est con. Dans mon cas c’est toujours vrai, mais ça l’était encore plus à l’époque et ce jour-là, j’sais même plus pourquoi mais j’l’ai mise au défi d’approcher ce skag puant et hargneux qui trainait près de l’entrepôt. On m’avait demandé de le liquider ou de le faire partir, et comme un abruti, j’ai embarqué Joey avec moi … Comme un abruti j’l’ai mise au défi, et comme une idiote, elle a pris l’pari. J’sais pas exactement à quel moment ce truc est devenu enragé, j’me revois juste lui loger une balle entre les deux yeux pour porter Joey dans mes bras, directement chez le vieux. Cette monstruosité lui avait arraché l’bras, et c’était entièrement ma faute. J’en chialais, j’avais peur qu’elle y passe, j’crois que c’est à ce moment-là, en X213, âgé de 19 piges que j’ai enfin calé que cette fille, c’était plus pour moi que la nana que je voulais protéger parce qu’elle valait mieux que ce monde. Quand j’ai cru la perdre, quand à cause de moi, papy a dû lui coller une de ces prothèses robotiques qu’il gardait entreposées dans son taudis. Ça a duré des heures, j’ai pas quitté son chevet, sa main dans la mienne, mes doigts sur son front, sur sa joue.

Après ça … y’a eu comme une période de flottement, j’ai eu peur pour elle, et c’était ma faute, p’têtre que j’étais pas si bon pour elle que j’le croyais. Eugene m’a appris à l’aider avec son nouveau bras, il a tenté de lui faire voir le bon côté des choses, il a tenté de me faire voir le bon côté des choses. Mais y’avait un truc qui s’était brisé entre nous, ou alors c’était l’inverse, y’avait un truc qui s’était réveillé. Un truc qui a finalement trouvé son dénouement que quelques temps après, une nuit d’orage. Cette fille, assez bête pour prendre un pari débile, assez usée pour avoir l’air fragile, assez désinvolte pour tenir tête aux gars du groupe, j’en étais amoureux, pas qu’un peu. Ca a pas changé d’un poils depuis.

Sauf que pendant que moi j’apprenais à être amoureux, avec cette nana qui était mon seul rayon de soleil dans ce monde terne, les chefs de la bande pensaient à faire d’elle leur nouveau gagne-pain. J’les ai entendus en parler, dire qu’elle avait de quoi rapporter un paquet d’argent, la force, la beauté, et qu’il y avait sans doute un tas de tarés pour avoir un fétiche sur les bras robotiques qui paieraient cher pour … j’vais pas vous faire un dessin parce que moi, ça défilait devant mes yeux. C’était hors de question qu’il la vende comme un vulgaire objet, hors de question qu’un type pose ses sales pattes sur elle, hors de question qu’on la regarde comme une bête de foire. J’ai pas réfléchi longtemps, de toute manière j’sais pas réfléchir, avant de leur péter la gueule méchamment pour l’embarquer elle avec moi chez papy Eugene. Il a vite compris à nos gueules, avec mes quelques crédits en poche j’avais pas assez pour nous amener loin d’eux, pour la mettre en sécurité, alors Daft il nous a filé c’qu’il manquait et en une fraction de seconde, on réapparaissait à Safe Haven.

Là, il nous avait dit de trouver Patsy et son bar, alors c’est c’qu’on a fait. On y est encore aujourd’hui, on vit là-bas, Jo’ bosse là-bas, sauf qu’entre temps, la vieille a appris à connaître ses deux choux. J’crois que finalement Eugene c’était ce qui se rapprochait le plus d’un père pour moi, et Patsy c’est sans doute ce qui se rapproche le plus d’une mère. Elle a pas demandé à Joey de vendre son corps, elle m’a pas demandé de voler – même si ça l’arrange que je le fasse parfois – elle nous a laissé être nous-mêmes. Libres. Et dans cette liberté, elle a fini par nous faire assez confiance pour nous dire ce qu’elle était vraiment, pas une cyborg, ça on le savait au début, elle a gagné la confiance de Joey comme ça j’pense, peut-être ? J’en sais rien, bref, elle nous a présenté à une dénommée Kat qui nous a parlé de grands plans pour rendre à Pandore sa liberté, pour virer du sol pandorien tous les abrutis qui essaient de voler la planète, de l’épuiser. La rébellion. C’est comme ça qu’on l’a rejoint, grâce à Patsy, et c’était en X215.

Aujourd’hui, on agit pour eux de façon plus ou moins violente, on distribue des tracts et des pains, et on bosse pour ces bonnes gens de Safe Haven, moi comme mécano pour les caisses, les armes quand j’sais faire, et certaines prothèses selon ce que m’a appris Eugene, Joey en servant des cocktails aux plus riches. Elle et moi, c’est pour toujours, sans condition, y’a plus qu’elle et y’aura jamais plus qu’elle, si j’suis investi de cette mission pour la rébellion, j’le suis encore plus dans ma mission personnelle de la protéger et de faire de la vie de ceux qui lui veulent du mal un véritable enfer.

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Ven 16 Aoû - 16:35
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