And they all got the same heartbeat but hers is falling behind
Age : 20 ans (née en X213)
Miscellaneous : Fille d'un couple de chasseurs de l'arche, elle parcourt Pandore pour rendre ses parents fiers. Elle a un cœur mécanique depuis l'âge de 5 ans pour palier à un grave problème qui a failli lui coûter la vie enfant. Maxine a deux petites sœurs, des jumelles qui s'appellent Ashanti et Candis. Elle est du genre futée, rusée, méfiante juste ce qu'il faut, un brin moqueuse mais le cœur sur la main.
Localisation : Partout où il y a une chance de trouver une arche
Date d'inscription : 15/08/2019
Vault Hunters | Fondatrice
Maxine A. Brown
Maxine Awa Brown
ft. Zendaya COLEMAN
Âge : 18 ans, née en X213 dans le petit campement de ses parents, dans les Highlands
Type : Cyborg
Profession : Sans emploi, sa vocation c'est de trouver l'arche !
Groupe : Vault Hunters
Pouvoir ou Amélioration : Maxine a un cœur mécanique depuis l'âge de 5 ans. Il est alimenté par une batterie à l'éridium qui se recharge seule, comme les armes éridiennes. La batterie de son cœur a un maximum de 48h d'autonomie, au-delà, elle doit se recharger et quand cela arrive, Maxine s'endort, peu importe où elle est et avec qui. Elle a un genre de montre à son poignet qui ne donne pas l'heure mais l'autonomie approximative de son cœur. Son cœur ne la rend pas immortelle, la pièce mécanique vieillit aussi, et surtout la moindre décharge électrique peut forcer l'arrêt. Le point négatif ou positif, ça dépend des gens, c'est que son cœur lui permet d'être toujours d'un calme olympien en apparences, parce qu’a l'intérieur ce n'est pas forcément le cas, mais son rythme cardiaque est toujours constant.
Je sais bien ce que vous allez dire de moi, je ne suis qu’une gamine qui ne devrait pas être là, toute seule, à parcourir un monde aussi dangereux que Pandore. Mais sérieusement, vous aimeriez me voir où ? Sur les bancs de l’école ? Non, je suis trop distraite pour l’école, trop désinvolte aussi, mes parents ne m’ont jamais appris à rester assise à rien faire sinon écouter un vieux barbant qui raconte tout un tas de trucs pas toujours prouvés. Je me déconcentre vite, un papillon, un rakk, un indice … Mon regard suit chaque chose qui passe devant mon nez, mes oreilles écoutent tout, mais à trop voir et trop entendre, on finit par ne plus rien suivre du tout, du moins il paraît. Et puis quand on me le fait remarquer, j’ai tendance à répondre, j’ai la langue bien pendue, je suis l’aînée donc c’est à moi de montrer à mes petites sœurs que chez les Brown, on ne se laisse pas marcher sur les pieds. D’ailleurs, j’en fais un combat de tous les jours, ne pas me laisser marcher sur les pieds, ne pas me laisser déconcentrer – ironique hein ? – ou du moins détourner de mon but, pas même par l’échec. Surtout pas par l’échec, je me relève à chaque chute, je rends chaque coup, enfin pas littéralement, je n’aime pas me battre mais je suis une battante, combative, acharnée à ce niveau-là. Audacieuse aussi quand je veux quelque chose, je n’ai pas froid aux yeux, je suis courageuse et j’aime tenter des choses, des plans les plus idiots aux dernières friandises de chez Betsy à Sanctuary. Cela dit, autant de volonté, ça peut vite virer à l’entêtement, et ça, je peux l’être butée, plus bornée qu’un âne. Mais quand j’ai raison, j’ai raison, et quand j’ai tort … j’ai quand même raison, ne cherchez pas ! Je sais que là, vous vous dites que je dois être une sale gosse, insupportable. C’est faux, je suis adorable, je le suis vraiment, sans déconner. Je suis affectueuse, comme une grosse peluche, enfin grande plus que grosse. Les câlins, les bisous, ça doit venir de mes petites sœurs qui me prennent pour leur doudou depuis qu’elles sont en âge d’en avoir un. Elles m’ont rendue … fluffy. Elles m’ont rendue sensible aussi, enfin je l’étais, je le suis, sauf que ça ne voit pas le plus souvent. Parce que le plus souvent, je suis assez impassible, la faute (ou alors merci ?) à mon cœur, ce cœur mécanique qui bat toujours au même rythme, sans aucune loupée, sans un seul battement de travers. On ne voit rien sur mon visage, on ne sent contre ma peau. Je dois être la fille la plus chill que vous rencontrerez. Pourtant, à l’intérieur, ça bouge, ça secoue. Je pleure, je ris, je ris beaucoup, beaucoup plus que je ne pleure. Je suis un rayon de soleil pour mes parents, toujours joviale. Il faut me connaître pour ça. Sinon vous aurez simplement l’impression que je me fiche de vous, parce que ça …je suis désolée mais je suis un brin moqueuse.
Physique
Sourcils froncés, Max’ observe les deux petites têtes brunes et frisées qui lui tirent le portrait. « Vous êtes sûres et certaines que je ressemble à ça mes puces ? » Ashanti se marre, Candis la suit, plus timide. L’aînée récupère le dessin et le détaille, clairement, elle ne ressemble pas à ça. Elle est grande pour commencer, 1m78, et mince – trop mince lui répète sa mère – puisqu’elle ne fait pas plus de 58kgs. De longs cheveux bruns, frisés, hérités de son père Jamal, et un sourire d’ange emprunté à sa mère Mary. Métisse, et magnifique métissée, Maxine, qui a le prénom de sa grand-mère maternelle, a pris les plus beaux traits de ses parents et ce dessin ne lui fait clairement pas hommage. « Bon ça passera … mais faut me rajouter mes fringues de tous les jours. » Les gamines s’empressent de rajouter quelques couleurs au dessin. Les vêtements c’est important pour Maxine, c’est une façon de se camoufler, de cacher cette immonde cicatrice, l’immonde vérité qu’elle cache elle aussi. Sa nouvelle nature, plus vraiment humaine, pas vraiment autre chose. L’une de ces cyborgs. Jean, shorts, veste en jean, cuir, doudoune plus chaude, tant que c’est confortable, pratique, tant que ça cache ça. La seule chose qu’elle ne cache pas, c’est son visage, son regard sombre, ses lèvres pulpeuses. Elle est belle, et elle le sait, mais à son âge, Maxine n’a pas encore la prétention de savoir vraiment s’en servir de tout ça. Elle n’a pour elle que son joli minois de gamine courageuse.
Histoire
« T’es née en X213 ? » Je dévisage ce type qui me dévisage pendant que je le dévisage, je m’adosse à la chaise trop peu confortable sur laquelle j’ai posé mes fesses à sa demande pendant qu’il fouille dans mon sac. « Ouais et ? » J’entends d’ici ma mère me dire d’être plus polie, mais là, la politesse ne me mènera nulle part. Et moi, j’ai besoin d’aller quelque part, où ? Pour ça faut que je reprenne depuis le début, que je vous raconte d’où je viens, vous avez du temps à perdre ? Moi oui, vu que Tête-de-nœud a l’air décidé à me garder là. Donc …
Je m’appelle Maxine Awa Brown, je suis née il y a 18 ans dans la baraque de mes vieux dans les Highlands. Jamal et Mary Brown, mes parents donc, ont passé toute leur vie avant mes sœurs à chercher la moindre trace d’une arche, d’une clé, la moindre trace de la moindre trace de la moindre information. C’était leur vie, du moins avant que mes sœurs entrent dans la leur. Jusque-là, ils se relayaient, je restais avec maman pendant que papa parcourait Pandore et puis je restais avec papa quand c’était le tour de maman. C’était calme, enfin, ça l’était relativement parce que quand j’avais … vers 5 ans quelque chose comme ça, on s’est rendu compte que mon cœur ne fonctionnait pas si bien. Au début c’était presque rien, et le presque rien s’est transformé en beaucoup, alors tous les crédits qu’ils avaient mis de côté, papa et maman ont décidé de les utiliser pour moi, pour mon cœur. Je ne sais pas combien ça a couté, mais ils ont investi dans un genre de cœur mécanique, depuis je suis ultra chill et j’ai une cicatrice aussi voyante que la faille de Pandore sur le torse. Su-per. Bref, ils m’ont sauvé la vie, je leur en veux pas, c’est ce que je suis, c’est qui je suis.
Et cette gamine balafrée super chill que j’étais, elle a grandi. J’avais 14 ans quand Ashanti et Candis sont nées, et à partir de leur arrivée, le cycle de papa et maman a changé. Plus personne ne partait en mission, en chasse à l’information. Enfin si, papa de temps en temps. Jusqu’il y a peu, c’était ça, puis un jour maman a décidé de l’accompagner. Alors je suis devenue baby-sitter attitrée des jumelles, ça ne me dérangeait pas. Ça a commencé à me déranger. « Vos parents Maxine ? » Je tourne la tête vers le type et je lève les yeux au ciel, il ne voit pas que je suis occupée à vous raconter ma vie ? Je secoue la tête et la bascule en arrière, me balançant doucement sur la chaise en repensant à ce moment où j’en ai eu assez de rester à la maison avec des bébés. « Mes parents, ils sont à la maison mes parents, avec mes deux petites sœurs. » Et moi, ce que je fais là ? On y vient donc …
J’avais 16 ans et l’envie de voir le monde avec eux, comme eux. Sauf que pour qu’eux puissent continuer leur vie rêvée, je devais être la nounou de mes sœurs, je les aime de tout mon cœur mécanique qui ne bat jamais de travers. Mais j’avais 16 ans … j’avais envie d’autre chose que de jouer les nounous … De vivre moi aussi mes propres aventures, comme celles que papa et maman me racontaient. Alors cette fois-là quand ils sont rentrés, pour fêter mes 17 ans, j’ai agi comme … une gamine ingrate ? Non, je leur ai laissé un mot et je leur envoie des nouvelles toutes les semaines, et j’essaie de revenir tous les mois. La première fois quand il m’a vue revenir avec son revolver et ses notes de voyage, papa n’a pas vraiment apprécié. Puis il a compris que ce serait ça, ma vie, la même que la leur. Ash et Didi me manquent, mais les retrouver c’est plus génial que les regarder se curer le nez H24, croyez-moi.
« Je m’appelle Maxine, mes parents sont des chasseurs de l’arche, mon père vous étale n’importe quand au bras de fer, ma mère vous fait les poches en deux-deux et mes petites sœurs vous rendent fou en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. J’ai 18 ans, je suis aussi à la recherche d’une arche comme mes parents, et pour être tout à fait honnête, je me fiche bien de votre avis. Maintenant vous allez me rendre mon sac, sinon je presse la détente et je m’assure que vous n’aurez plus jamais d’enfant. » J’esquisse un large sourire et le type recule en regardant le canon de mon revolver, celui de mon père. Il m’a appris à m’en servir, il m’a dit que cette phrase faisait toujours son petit effet mais il m’a défendue de chercher à comprendre pourquoi. « Fous l’camp d’ici gamine ! » Il me jette mon sac au visage et me laisse partir, qu’est-ce qu’une petite milice de campagne peut avoir à faire de moi ? Rien, je ne suis personne, comme tout le monde. Ça fait un peu plus d’un an que ça dure et c’est très bien comme ça !
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Pseudonyme : Oui. Âge : Un certain âge. Comment avez-vous connu le forum et qu'en pensez-vous : J'ai déjà répondu à cette question. Que mangent les Skags ? Ils mangent ta mère. Un petit mot pour la presse : Balançoire.
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