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Il faut que je vous raconte mon cauchemar
un cauchemar dont je me suis même pas réveillée tellement dedans j'étais déter à aller jusqu'au bout de l'aventure XD
J'étais partie en weekend dans une maison genre maison hantée, cette maison se trouvant être l'ancienne station service à côté du boulot où il y a maintenant la Mie Caline et la Toque dorée, mais comme le tardis, c'était plus grand à l'intérieur. J'étais visiblement partie avec des amis et la famille (dont ma soeur, que je n'ai pas en vrai XD) mais je sais pas qui étaient ces gens. Sur la route, avec ma Twingo dont je me suis séparée il y a plus d'un an, je m'étais arrêtée pour louer une radio pour le weekend.
Voilà pour les éléments de fond du contexte
Passé la première journée, ou nuit difficile à dire, dans cette "maison" hantée, on se rend compte qu'il y a effectivement 2 fantômes, et qu'ils prennent en grippe une personne différente chaque nuit ou jour, donc à la première occasion tout le monde se barre, enfin il reste 3 pelés, ma soeur et moi. Et ma radio louée, et ma twingo garée dans la rue devant.
Et lors de la nuit suivante BIM ! L'un des fantômes apparaît, je la (parce que c'est une dame à priori) vois dans un reflet de miroir et puis REBIM le second apparaît aussi, qui ouvre une porte coulissante à la japonaise pour ramper jusqu'à nous façon the ring dans le puit. Donc là je hurle dans le rêve, et c'est normalement le moment où j'aurais dû me réveiller, mais NON ! Parce que moi je suis Toolite, chasseuse de fantôme du dimanche ! Armée d'un miroir qui renvoie un reflet de fantôme, je fais peur à l'autre fantôme, elle pète une pile et me poursuit dans la maison (qui est décidément bien plus grande à l'intérieur que ne le laissent penser les locaux de la mie caline et de la toque dorée)
Le fantôme me poursuit tout en pétant une pile donc, jusqu'à ma chambre dans cette magnifique résidence et moi tout ce à quoi je pense c'est "punaise ma voiture est garée dans la rue, la radio dedans, je vais jamais récupérer la caution si je reste ici"
Alors je continue de fuir, et je reviens vers la première pièce, on joue à la balle au prisonnier avec le miroir et le fantôme (et le fantôme dans le miroir aussi), et puis là dans un grand élan héroïque, je dis à ma soeur "Prends ma voiture et ramène la radio, sinon on récupèrera pas la caution" et puis je prépare un plan avec un de mes potes (je sais pas qui était ce type) pour découvrir l'histoire des fantômes et les aider à quitter cette maison.
Mon réveil a sonné alors qu'on regardait un cartoon bizarre supposé nous expliquer l'histoire des deux dames fantômes, une qui était la fille des propriétaires et qui avait une jumelle (soit disant fantôme mais qu'on avait jamais croisée), et l'autre qui était une gamine que les propriétaires avaient enlevée pour faire chier leur fille.
Voilà.
Entre deux poursuites avec le fantôme je crois que j'ai aussi réussi à sortir de la maison, que j'ai volé une voiture sur le parking de Carrefour à côté, et que j'ai fui à travers la ville, pour finir ma course poursuite contre les fantômes qui eux étaient encore dans la maison, par un tobogan qui allait dans la piscine d'un hôtel, sauf que j'avais mon pc portable donc de justesse j'ai sauvé le pc, j'ai quitté le tobogan, et quitté l'hôtel en offrant ma tequila à une serveuse parce qeu je pouvais pas boire dans ces conditions. Puis je suis revenue à la maison
Je sais pas à quel moment du rêve c'était mais notez que là encore, la vie du pc comptait autant que la caution pour la radio XD

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Adèle la petite tortue

Dans un coin du jardin, Adèle la petite tortue mange une laitue. Elle est très triste :
— Hélas, je suis toujours toute seule sous ma carapace si lourde ! Je reste toujours dans ce jardin. Je mange toujours la même chose. J’avance tellement lentement. Je n’ai pas d’amis…
À ce moment, Adèle entend une toute petite voix derrière elle. Perché sur une feuille, Raoul l’escargot lui demande :
— Tu es triste, petite tortue ? Tu pleures ? Pourquoi ?
— Je suis seule, je n’ai pas de maison, je reste toujours dans ce jardin. J’ai envie de voir le monde.
— Je peux être ton ami, nous pouvons partir ensemble. Tu veux bien ?
Alors ils sortent du jardin et ils partent voir le monde.

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