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I can only take so much
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Donovan M. Harvey
Age : 38 ans (né en X194)
Miscellaneous : Branleur, flambeur, dragueur, et bagarreur. Plutôt du type sang-chaud, quand il s'agit de partir en mission Donovan sait garder son sang-froid. Son coeur bat de travers depuis qu'elle est plus là. Sa cause vacille, la vengeance le fait rêver et l'alcool le fait tenir. Son fusil de précision c'est un prolongement de son bras. Bref, vous êtes sûr de vouloir l'emmerder à ce grand con ?
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Donovan M. Harvey
Novembre x232 - Sanctuary

« Putain d’chiotte de … Hm … bordel. » Main collée à son épaule, le sang qui filait entre ses doigts, Donovan jura encore une ou deux fois avant de déchirer un nouveau morceau de sa chemise pour le glisser sous le cuir de sa veste et tenter de faire pression sur cette blessure. Il survivrait, comme d’habitude, mais ça faisait un putain de mal de chien. Adossé à un battant de métal, dans l’embrasure d’une porte qui menait il savait pas où, le tatoué galéra à sortir son interface ECHO de sa poche. Les filles étaient loin, elles seraient en sécurité, il avait tenu parole et il pouvait se reposer, faire recoudre cette merde. Ou mourir en paix ? Plutôt crever qu’mourir. Sa conscience haussa un sourcil et abandonna l’idée d’un débat.

Les doigts pleins de sang, Harvey pianota sur l’écran de l’interface, fouinant pour trouver de l’aide dans le coin, quelqu’un du réseau. Non. Trop gros, après ce coup ce serait mettre le réseau des rebelles en danger, puis la plupart étaient à DownTown, trop loin , bien trop loin. Il quitterait pas la capitale volante dans son état. Fais chier. Et une idée germa dans son crâne. La presse people était sa meilleure source d’information, Olivia Barns. Mais aucun article donnait sa putain d’adresse. Pourquoi ? Tu comptes vraiment aller chez elle ? C’était le plan parfait, ils avaient un secret qu’elle voudrait sans doute pas voir ébruité, alors elle l’aiderait. Pour ça fallait qu’il trouve son adresse cela dit. Son fiancé. Eliott. Eliott comment ? Il en passa des articles qui vantaient leurs vacances, parlaient de leur mariage à venir jusqu’à finalement trouver son nom. Spark.

Une rapide recherche sur l’ECHO.net confirma l’adresse de ce gusse, l’une de ces adresses, les autres ça devait être les adresses professionnelles. Comment t’en es sûr ? Tant pis il les ferait toutes. Non, la première devait être la bonne. Donovan ramassa son courage, sa douleur et prit cette démarche du type un brin pété qui rentrait chez lui, le plus galère étant de camoufler sa blessure aux yeux des quelques soldats d’Hyperion qu’il croisa. Des salutations simples, parce qu’on avait toujours l’air moins suspects en agissant normalement et que fuir leurs regards aurait été suspects pour un type comme lui et passablement éméché.

Et enfin le quartier résidentiel, l’un des quartiers résidentiels de cette putain de soucoupe volante haut de gamme. La vue passablement troublée par la perte de sang, Donnie trouva finalement la rue, le numéro. Et maintenant quoi ? Tu vas sonner ? Bien sûr que non. Il était pas con. Non, il se décida à grimper par la gouttière, chose relativement délicate, douloureuse et dangereuse vu sa blessure, mais fallait vivre dangereusement dans la vie non ? Tu commences à délirer mon vieux. Sauf qu’à vivre trop dangereusement, il allait finir par y passer, Donnie le savait et tout con qu’il était, il voulait pas claquer. Pas ce soir. Il devrait d’abord s’assurer que Raina et Sarah étaient bien rentrées saines et sauves chez elles, il devrait les rassurer, et ensuite il pourrait claquer. Ouais tu délire vraiment.

Avachi contre la structure de verre et d’acier qu’était cette tour où elle vivait, du moins l’espérait-il, Donovan récupéra son interface ECHO pour pianoter un message. Hey ma jolie, besoin d’un peu d’action ? Regarde par-dessus ton balcon. Sa conscience roula des yeux, comme si ça suffirait à la faire sortir, à la forcer à l’aider.
Lun 8 Fév - 7:33
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Olivia Barns
Age : 26 ans
Miscellaneous : Douce, aimante, à l'écoute, Olivia est une petite guimauve sans mauvais fond. La vie lui apparaît belle, sans ombre au tableau, elle reste naïve malgré son grand cœur, influençable sans nul doute. Sa carrière est florissante, chanteuse à succès et connue de quasiment tout Pandore, elle est l'égérie de certains jeunes des grandes citées telles que Sanctuary et Opportunity. Très proche de son demie frère, aimée par les siens, la jeune femme a beaucoup à offrir aux autres même si, de toute évidence, elle pourrait bien se faire berner sans le voir venir. Pour ceux qu'elle aime, elle serait prête à faire énormément de choses, bonnes ou mauvaises.
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Olivia Barns


► Light in the dark...
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Donovan
Une semaine seule, loin des doutes, loin de la tromperie et des mensonges, loin de tout... Enfin pas tout non plus étant donné qu'elle bossait sur les textes et arrangements de son prochain album. Néanmoins une semaine loin de lui. C'était pas de trop, absolument pas de trop étant donné le fait qu'elle marchait sur des œufs depuis quelques temps déjà. Depuis de trop nombreuses semaines et ce même si, à bien y regarder depuis que Ezel lui avait quémandé de penser à elle, et uniquement à elle, Olivia doutait cruellement de la véracité des propos de son fiancé tout autant qu'elle doutait réellement qu'il puisse douter d'elle et, malgré tout, il lui semblait que ses mensonges, ou dissimulations, nommez ça comme bon vous semblera, se voyaient comme le nez au milieu de la figure. Bref, là où elle se serait retrouvée attristée, extrêmement esseulée et peut-être un peu paumée, y avait de ça des mois maintenant, ici et ce même si elle avait tiqué quand à ce soit disant « séminaire » improvisé, elle soufflait vraiment. Huit jours, huit petits jours dont elle profiterait au maximum pour se recentrer, peser le pour et le contre, une semaine au terme de laquelle, elle l'espérait réellement et le désirait plus que tout pour se sentir mieux dans ses basques, elle déciderait du restant de son existence.

Oh, si c'est négatif t'as l'intention d'te pendre avec la ceinture d'ton peignoir en soie ? Cingla sa conscience alors qu'elle terminait son trait de liner, ici, face au miroir de sa coiffeuse. La brunette en roula des yeux. Il n'était pas question de suicide, pas une seconde, néanmoins au pire des cas elle déciderait de rompre, tout annuler pour elle et son bien, tout autant que pour éviter de prendre Spark pour un con jusqu'à la fin de ses jours, ou dans les meilleurs de cas... Tu lui dis tout et c'est lui qui t'envoie chier, imagine l'humiliation, non moi j'dis garde tout pour toi et subi tes erreurs jusqu'à le fin des temps. Un frisson lui secoua l'épaule, elle en manqua la pointe au coin de son œil puis pesta en y collant un coton bardé de démaquillant pour ensuite rattraper son erreur. Parce qu'elle est rattrapable celle-ci.

- Rouuuuh toi, la …. ferme ! Siffla-t-elle au travers du miroir avant de saisir la télécommande du système son de l'appartement terrasse. La voix acidulée de la chanteuse la poussa à souffler, inspirer et expirer, puis enfin la starlette pu terminer de se maquiller avant de quitter le banc de la coiffeuse pour se rendre dans son dressing quand, subitement, elle entendit le vibreur de son système ECHO. Eliott ? Non, il devait sûrement être occupé, bien trop pour penser à elle. Et on parle pas la bouche pleine tu l'sais bien. Nouveau levé d'yeux au ciel et enfin, toujours en peignoir court de soie rose, elle s'empara de l'interface avant de sentir son cœur faire un double saut périlleux dans sa poitrine au simple nom affiché, en gras et lumineux, sur l'écran. Putain d'merde. Jura-t-elle au point d'en coller la main sur ses lèvres comme si, d'une seconde à l'autre, l'un de ses parents s'extirperait du placard pour la sermonner sur le fait de jurer à qui mieux mieux. Donovan, merde et ….. Nom d'une pipe... c'est pas vrai il ... D'après le message oui, il doit être là, à faire le pied de grue au bas de ton immeuble comme bien des fans l'ont fait avant lui, y a rien d'transcendant.... Oh mais, oops, t'as pas couché avec tes fans aussi.

Son cœur joua la cinquième symphonie de Beethoven, ou la marche de l'empereur sans doute, alors qu'elle observait tantôt le message, toujours illuminé entre ses doigts, tantôt la baie vitrée de l'immense salon derrière laquelle, elle en avait conscience, se tenait la terrasse et, par delà du garde corps de cette dernière, en contrebas, cet abruti de loveur à deux crédits. Hésitante, Barns reposa l'appareil, après tout elle pouvait faire mine de ne pas l'avoir entendu vibrer, de ne pas avoir lu le message ou... Non, il avait du recevoir un accusé. Ce genre de type devait justement user et abuser des accusés de réception pour être certain d'avoir été lu par leurs petites conquêtes niaiseuses, amoureuses et …. Tu l'es ? Non, pas le moins du monde, elle n'était pas éprise, pas du tout simplement …...

Émoustillée, tant qu'tu joues les carpes à l'air libre là. D'instinct, elle dévia les cils vers le premier miroir à portée et se vit là, bouche ouverte, au point de la fermer avant de reprendre une longue inspiration visant à l'apaiser. Bon, c'était bien qu'une visite, comme un fan qui quémandait un autographe, ou un p'tit coup rapide entre deux pans de mur. Sa conscience, cinglante, la poussa à clore les yeux tout en s'approchant de la baie vitrée qu'elle mit un temps fou à ouvrir. L’air frais lui fouetta le visage, mordit sa peau d'un frisson généré non pas par la fraîcheur relative, même plutôt tendre en comparaison de la citée sous Sanctuary, mais d'avantage par l'angoisse de simplement recroiser son regard. Ce regard qui l'avait perdue dans les avenues voisines à l'appartement, ce regard perçant et à la fois plein d'ombres où elle s'était noyée sans plus songer aux répercutions et à ce qu'il adviendrait d'elle ensuite.

A pas mesurés, menton en avant, Liv avança vers le garde corps pour jeter un bref coup d’œil, trop bref, histoire de ne voir... Eh bien rien, à peine le fourmillement des passants dans les avenues, rien de plus. La brune recula donc, puis inspira à nouveau, prête à rebrousser chemin avant d'entendre un grincement et de s'imaginer que, même si elle faisait mine de ne pas l'avoir lu, avoir entendu son système ECHO, la musique trop forte générée par les enceintes de l'appartement, une fois la baie ouverte, avait dû rameuté jusqu'aux deux pâtés de maison plus loin. Fichtre elle s'en fichait de lui, elle l'aimait pas et se souciait pas le moins du monde qu'il ait envie de la voir ou non. Elle n'était pas amoureuse, pas même fascinée pas même.... La musique changea subitement alors qu'elle se penchait de nouveau pour enfin le voir là, pas en contrebas mais bien juste là, à peine appuyé sur le rebord à à peine deux mètres d'elle. Qu'est-ce qu'il foutait ici bordel ? Et ….. cette musique, elle en déglutit en croisant son regard avant d'arquer un sourcil parce que la situation semblait plus gênante pour elle que pour lui qui, malgré tout, avait dû jouer les trapézistes pour parvenir jusque là. Gênée, Olivia reprit son souffle, encore muette, puis s'attarda objectivement à l'aspect puérile de cette situation. Après tout, elle avait l'avantage, non ? Aussi, et malgré son cœur partagé entre la honte du souvenir et la musique stupide qui semblait s'accorder avec la scène des plus débiles et romantique, du moins s'il l'avait été ; romantique, Barns esquissa un sourire puis colla le coude sur le sommet du garde corps pour glisser le menton dans le creux de sa paume.

- Eh bha, je suppose qu'il faut une très grande motivation et un égo surdimensionné pour se hasarder à faire autant de sport en étant sûr de rien du tout, uhm ? Lâcha-t-elle en plissant les yeux afin qu'il comprenne bien qu'ici, maintenant, c'était elle qui décidait de son sort. J'espère aussi que tu sais comment redescendre sans t'tuer parce que, je t'interdis de grimper plus haut Donovan. Le fait qu'il soit blême ne l'avait pas tant marqué, après tout, n'importe qui le serait si haut au dessus de la terre ferme, pas vrai ?

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Mar 9 Fév - 16:58
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Donovan M. Harvey
Age : 38 ans (né en X194)
Miscellaneous : Branleur, flambeur, dragueur, et bagarreur. Plutôt du type sang-chaud, quand il s'agit de partir en mission Donovan sait garder son sang-froid. Son coeur bat de travers depuis qu'elle est plus là. Sa cause vacille, la vengeance le fait rêver et l'alcool le fait tenir. Son fusil de précision c'est un prolongement de son bras. Bref, vous êtes sûr de vouloir l'emmerder à ce grand con ?
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Donovan M. Harvey
Le tatoué serra les dents, son épaule lui faisait un mal de chien. Fallait y penser avant de te faire trouer ducon. Oh la ferme, il avait pas besoin des commentaires du vieux con dans son crâne. Il avait juste besoin qu’Olivia le laisse entrer, d’une part pour qu’il se planque des soldats d’Hyperion qui devaient littéralement le suivre à la trace et d’autre part pour recoudre ça avant de se vider de tout son sang. Elle foutait quoi d’ailleurs la starlette, merde ! Qu’est-ce qui te dit qu’elle est là ? Elle est pas toujours là, la preuve tu l’as rencontrée près de la mer, tu te rappelles, toi, elle, le jacuzzi, tes états d’âme de chevalier de mon cul. Vraiment ? C’était ce moment qu’il choisissait pour repenser au fait qu’un truc qu’on pourrait qualifier de bonne conscience l’avait empêché de se taper l’une des nanas les plus en vue de Pandore ?

Bon, elle lambinait trop. Elle est surtout peut-être pas là. Alors Donovan prit les devants, s’il pouvait pas entrer par la grande porte sans passer pour un type louche aux yeux des gorilles qui la gardaient, il pouvait bien tenter d’escalader jusqu’à ce balcon, putain de balcon bordel ! Avec une épaule en vrac, ça tenait de l’idiotie, surtout qu’elle est peut-être pas là, mais ça se tentait. Et même si Olivia était pas là, Harvey aurait qu’à se servir pour se faire une jolie boutonnière sur l’épaule, ça serait pas la première fois qu’il se démerdait seul. Se démerder seul, c’était l’histoire de sa vie. Joey avait changé ça. Joey était plus là. Il refusait de perdre qui que ce soit d’autre à cause de ses conneries, donc seul c’était aussi bien. Pour ça que t’es là donc ? Pour être seul ?

La gouttière grinça, le forçant à presser le pas, une grimace à chaque fois qu’il devait s’accrocher de sa main gauche, la douleur irradiant dans tout son bras. Tant bien que mal, le tatoué parvint donc à se hisser sur un petit rebord, à mi-chemin entre une chute qui l’achèverait et le balcon tant attendu. La délivrance. Le balcon d’où jaillirent les mèches brunes de la chanteuse. Elle était donc bien là. Et tu penses que même si elle en était capable, elle t’aiderait ? Mec tu te rappelles comment tu l’as traitée la dernière fois que tu l’avais vue ? Comme un gros con oui. Un très gros con. A sa place, tu sais très bien que tu te collerais une balle dans le caisson, ou que t’appellerais la sécurité, elle doit pas savoir se servir d’une arme. C’était pas franchement le moment de penser à ça. La perte de sang, la fatigue, la douleur, Donovan sentait sa vision qui commençait à se troubler.

Le tatoué prit une longue inspiration et se concentra sur les mots qui filèrent ses lèvres. « A vrai dire, si tu m’aides pas bientôt à grimper plus haut, j’vais forcément finir par terre. » grinça-t-il dans un soupir. « J’sais que tu me dois rien, si on doit faire les comptes c’est même plutôt l’inverse, mais si j’crève là en me fracassant le crâne par terre, je pourrai jamais m’excuser. » Tu comptes … t’excuser ? Non, parce qu’il estimait pas avoir à le faire, mais sans doute que la brunette serait rassurée qu’il l’envisage. Au mieux, quoi, tu l’envisages elle non ? Son regard gris se leva vers le balcon, la vue était pas désagréable. C’était juste pas le moment de trop s’y concentrer. Sa main droite se plaqua à nouveau contre son épaule. Dernière ligne droite, dernier petits mètres d’escalade.

Ça se présentait bien mieux ici, la gouttière était entourée de quelques ornements métalliques, sans doute parce que cet immeuble était du genre cossu, du genre à abriter une star de la planète. Prenant son courage à deux mains, enfin une et demie vu la douleur, et une grande inspiration, Donovan reprit son ascension. Olivia Barns le laisserait pas s’écraser au sol, elle l’aiderait. T’en es sûr ? Certain. Et alors qu’il s’engageait dans le dernier petit mètre restant pour pouvoir s’agripper au balcon et s’y hisser, sa semelle glissa sur son propre sang sur l’un des ornements gravis plus tôt. « Putain ! »
Sam 13 Fév - 11:42
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Olivia Barns
Age : 26 ans
Miscellaneous : Douce, aimante, à l'écoute, Olivia est une petite guimauve sans mauvais fond. La vie lui apparaît belle, sans ombre au tableau, elle reste naïve malgré son grand cœur, influençable sans nul doute. Sa carrière est florissante, chanteuse à succès et connue de quasiment tout Pandore, elle est l'égérie de certains jeunes des grandes citées telles que Sanctuary et Opportunity. Très proche de son demie frère, aimée par les siens, la jeune femme a beaucoup à offrir aux autres même si, de toute évidence, elle pourrait bien se faire berner sans le voir venir. Pour ceux qu'elle aime, elle serait prête à faire énormément de choses, bonnes ou mauvaises.
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Olivia Barns


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Donovan
Qu'est-ce qu'il fichait ici bon sang ? Perso ce qu'il fout là ça m'inquiète moins de savoir pourquoi cet abruti n'a pas trouvé plus judicieux de directement sonné. Olivia en fronça les sourcils, ce n'était pas un abruti, cependant oui il aurait eu moins de misère à sonner en bas, à l'interphone, que d'escalader la tour sans être sûr qu'elle lui ferait face. Oh excuse moi, c'est pas un abruti non, c'est surtout un connard. Un frisson glissa contre ses bras, elle en planta presque les ongles dans le creux de sa joue. Les insultes n'étaient pas son genre, cependant dans son crâne, sur lequel elle ne semblait avoir aucune sorte de contrôle, les jurons et jugements allaient bon train. Aussi bon train que semblait s'agiter la langue de ce cher Donovan. Sa voix, elle ne l'avait pas oubliée, néanmoins l'entendre en direct live c'était un peu comme revenir pile à l'instant où il lui avait certifié qu'elle se rappellerait toujours, indéniablement, de lui et de ce qu'ils avaient fait dans cette ruelle. Barns en agita l'épaule, redressant un sourcil pour mieux le fusiller du regard sans encore lui laisser l'opportunité de poursuivre.

- Qu'est-ce que ça peut me faire au juste ? Je crois me rappeler qu'nous ne sommes rien l'un pour l'autre, à peine des connaissances. A tes yeux je crois même être juste une fille parmi tant d'autres alors, …. Advienne que pourra, et j'ai un conseil à te donner, Elle avait le contrôle ici, l'entier contrôle, les manettes entre les paumes, comme toute puissante à contrario de lui dont la pâleur ne faisait que s'accentuer au grès des secondes. Ouais, mais ton cœur bat comme un dératé. Certes, elle avait beau jouer les femmes fortes, indépendantes et insensibles, Olivia espérait qu'il ne finirait pas sa course raide mort au bas de l'immeuble. Elle restait humaine, sans doute trop étant donné le goujat face à elle. accroches toi bien.

Prête à déguerpir, elle se redressa mais stoppa net sa course, dos à lui, lorsqu'il évoqua des excuses. Statufiée, elle ferma les yeux comme si c'était là tout ce qu'elle souhaitait de sa part, néanmoins la petite voix dans le creux de son crâne en rajoutait, lui sifflant de poursuivre son chemin et de le laisser se démerder que, puisqu'il avait su grimper jusqu'ici, il saurait bien redescendre sans encombre et que c'était rien de plus qu'un rôle qu'il jouait dans le but d'obtenir gain de cause. Un soupir fila ses lèvres et, doucement, la jeune femme posa de nouveau les yeux sur lui qui terminait lentement, mais sûrement, son ascension.

En un sens c'était presque romantique. Peut-être qu'il pouvait pas se passer d'elle, peut-être qu'il se sentait si mal qu'il avait nécessairement besoin de s'excuser, de se mettre à genoux et de quémander son pardon. La scène qui se déroulait là, loin de la réalité, la fit sourire, le rose aux joues, et ce avant qu'elle ne réagisse à nouveau pour ancrer les pieds sur terre quand les siens manquèrent leur appuie.

- DONNIE !!! Un cri du cœur, une révélation qui fit voler en éclat l'attitude de peste revêche et sans cœur pour ne laisser qu'elle. Elle, Olivia Barns, la brunette capable de trouver du bon même chez la pire raclure de l'univers. En vitesse, elle se pencha par delà le garde corps avant de reprendre son souffle puisqu'il n'était pas tombé mais se retenait, là, assez mal d'ailleurs, à l'ornement sous la terrasse. D'instinct, la chanteuse jeta le bras en avant pour tenter d'agripper sa main sans y parvenir. Oh merde de merde de ….... Ses yeux filèrent autour d'elle, rien ne pouvait l'aider ou, si ….. Sans hésiter, malgré la brise, elle dégagea la ceinture de son peignoir qui s'ouvrit sur un débardeur et culotte assortis, se hissa à califourchon sur la rambarde et, du mieux qu'elle put, lui tendit la ceinture qui formait une boucle. Magne toi d'attraper ça !!!! Espèce de nigaud bon sang, pourquoi tu …..... Lorsqu'il y mit son poids, elle tira, les dents serrées avant de lui sourire, rassurée, quand il fut à sa hauteur pour mieux valdinguer de son perchoir et se retrouver là, sous ses yeux, étalée sur le dos contre le bois de la terrasse. Bha c'est crédible ralalalalala. Sans doute ne s'était-elle jamais relevée aussi vite de sa vie, déjà à rabattre les pans de soie sur elle et à replacer connement ses cheveux pour mieux reprendre comme si de rien n'était. la prochaine fois tu sonneras, comme tout l'monde. Le cœur en pleine débâcle, Barns reprit une inspiration sourde avant de froncer les sourcils parce que, là où elle attendait plus de mordant de sa part, le tatoué était de plus en plus blême. T'as l'vertige ou quoi ?

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Sam 13 Fév - 15:41
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Donovan M. Harvey
Age : 38 ans (né en X194)
Miscellaneous : Branleur, flambeur, dragueur, et bagarreur. Plutôt du type sang-chaud, quand il s'agit de partir en mission Donovan sait garder son sang-froid. Son coeur bat de travers depuis qu'elle est plus là. Sa cause vacille, la vengeance le fait rêver et l'alcool le fait tenir. Son fusil de précision c'est un prolongement de son bras. Bref, vous êtes sûr de vouloir l'emmerder à ce grand con ?
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Donovan M. Harvey
Ce que ça pouvait lui faire ? Ce que ça pouvait lui faire … Bah sans doute rien, parce que tu l’as plutôt traitée comme une pute, et encore va savoir si t’aurais pas eu plus de considération pour une pute, donc ouais, elle en a sans doute rien à secouer que tu t’écrases dans la rue en contre-bas Donnie. Non, il savait que c’était faux. Olivia Barns avait ce genre de naïveté, elle avait ce truc qui succombait si facilement à ce qui lui il respirait, le danger, l’interdit. Elle pourrait pas le laisser clamser parce qu’elle s’en voudrait toute sa vie. Parce qu’Olivia, elle était gentille, douce, derrière ses airs de princesse starlette sous les projecteurs, c’était une bonne personne, ce que lui était pas forcément. Les excuses, c’était clairement une technique faible, lâche. Il comptait pas s’excuser, parce qu’il estimait avoir rien à se reprocher. Franchement, c’était vrai. Qu’avait-il fait sinon lui offrir quelques minutes de plaisir, un peu d’oubli et de frisson dans son monde aseptisé, où tout était chronométré, millimétré ? Bah voilà mon colon.

Il la vit son ombre qui stoppait sa course contre la façade du bâtiment. Il la vit elle qui revenait l’observer ; ça marchait. Et avec un peu plus d’efforts, elle finirait par l’aider, Donovan se remettrait de ses blessures, rentrerait et le tour serait joué. Et tu la laisseras en plan encore une fois. C’était pas son problème, il était égoïste, l’avait toujours été, sauf pour Joey. Mais Joey, elle était plus là. Et si elle l’était, elle te collerait sans doute une putain de claque mon vieux, tu m’en dirais des nouvelles. Sans doute la distraction, sans doute la fatigue, la douleur. Le tatoué manqua d’attention, sa semelle usée glissa contre son propre sang, auto-punition de ses grands morts. La chute allait l’achever, s’en était fini de Donovan Mason Harvey. Sur ta tombe, on notera un truc du genre, il a glissé chef. Même là, sa connerie lui donnait envie de rire, remarquez valait mieux se marrer en crevant, c’était moins déprimant, non ?

Non. Non, ça restait moins déprimant, mais non il allait pas mourir. L’instinct de survie sans doute, il se retint autant que possible à cet ornement qui avait dû couter six mois de salaire moyen, juste assez pour voir la brunette qui manquait se jeter par-dessus la balustrade pour l’aider. « Te jette pas par-dessus pour moi princesse, ça vaut pas l’coup. » A défaut de sa main, Olivia lui tendit alors une ceinture en tissu qu’il agrippa et enroula autour de son poignet, du côté où il était blessé pour s’offrir une meilleure prise contre le bâtiment de sa main plus mobile. La vue était pas désagréable, son regard qui se perdit un instant à contempler ses jambes dénudées avait au moins le mérite de le détourner de l’imminence d’une chute presque impossible à éviter.

Mais impossible était pas Harvey. Et avec la starlette qui braillait pour qu’il se magne le cul de grimper, Donnie trouva une seconde force, celle de la survie. Il se hissa finalement à sa hauteur, la furieuse envie de lui rouler une pelle en guise de remerciements, et pour se convaincre qu’il était bien vivant, mais Barns lui en laissa pas l’occasion, glissant de la rambarde jusque sur le sol boisé du balcon. Donovan se laissa glisser de la balustrade, forcément du bon côté pour pas clamser hein, son regard gris à la fois reconnaissant et moqueur posé sur la chanteuse. Bordel … c’est un avion de chasse quand même. Clairement.

Il voulait l’aider à se relever mais Olivia fit montre d’une agilité toute nouvelle pour se relever seule et se planquer derrière les pans de ce peignoir digne d’elle. « C’pas encore sûr qu’il y ait une prochaine fois ma belle. » souffla-t-il en portant la main à son épaule gauche. Titubant un instant, Donnie avança vers elle, manquant de lui tomber dans les bras. « Tu m’dois rien, j’en suis bien conscient, mais là j’ai juste besoin d’un peu d’un fil, d’une aiguille, et d’un bon verre. T’es même pas obligée de jouer les infirmières. Après tu m’verras plus. » T’oublies pas un truc ? Les excuses ? Ouais, s’il survivait, il s’excuserait. Son épaule pissait le sang, c’était pas gagné. Sa tête en tourna d’ailleurs avant que de sa main valide, il vienne s’appuyer contre elle.
Mar 16 Fév - 13:39
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Olivia Barns
Age : 26 ans
Miscellaneous : Douce, aimante, à l'écoute, Olivia est une petite guimauve sans mauvais fond. La vie lui apparaît belle, sans ombre au tableau, elle reste naïve malgré son grand cœur, influençable sans nul doute. Sa carrière est florissante, chanteuse à succès et connue de quasiment tout Pandore, elle est l'égérie de certains jeunes des grandes citées telles que Sanctuary et Opportunity. Très proche de son demie frère, aimée par les siens, la jeune femme a beaucoup à offrir aux autres même si, de toute évidence, elle pourrait bien se faire berner sans le voir venir. Pour ceux qu'elle aime, elle serait prête à faire énormément de choses, bonnes ou mauvaises.
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Olivia Barns


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Donovan
Quel nigaud. Uhm, connard, abruti ou débile j'veux bien mais … nigaud ? Tu vis à quelle époque ma p'tite ? Elle en roula des yeux, et sans doute que ce manque de concentration de deux petites secondes, alors qu'elle tâchait au mieux de ses capacités mentales et physiques de le ramener sur la terre ferme – enfin la terrasse –, lui valut de valdinguer de l'autre côté de la rambarde à peine le tatoué lui fit face. En un temps record, et tandis que Donovan enjambait le muret pour échapper à une mort quasi certaine, la brunette se releva et croisa les pans de soie contre son corps à moitié nu pour reprendre son souffle et rosir sans moyen de se planquer.

Il était sauf, c'était sans doute de justesse car, étant donné son teint de cachet d'aspirine, ce grand crétin avait sûrement le vertige et certainement pas tous ses esprits pour avoir pensé que l'escalade était plus sympathique qu'un index pressant une sonnette. A bout de souffle, stressée qu'il soit juste ici, face à elle, mais rassurée qu'il soit entier tout de même, Olivia recula d'un pas quand il tituba un peu. Mieux valait qu'il garde les doigts au bout de ses mains et pas sur elle, pas sur elle non. T'as peur que ça t'fasse encore de l'effet ? Elle en siffla en respirant, préférant lui signifier que faire la prochaine fois pour éviter des situations catastrophiques de ce genre. Une prochaine fois ?! Oui bon, c'était une façon de parler, rien d'autre, mais lui aussi y réagit à l'en faire rosir de plus belle puis reporter le regard par delà le garde-corps afin de vérifier la hauteur à laquelle il avait échappée.

Tu vois qu'il est pas net. Elle fit fie des remontrances dans son crâne puis reprit, se fichant de lui afin de garder le contrôle, donner le change ou qu'importait ce qu'elle désirait réellement faire, elle le faisait dans l'unique but qu'il garde ses pattes où elles étaient tout autant que sa bouche, sur laquelle elle bigla deux petites secondes, et tout le reste... il était pâle, pas que d'ordinaire il était du genre coloré mais, là, il faisait peine à voir et elle devait pas avoir de peine pour lui, pas le moins du monde après ce qu'il lui avait fait dans la ruelle des semaines plus tôt. A nouveau elle recula en le voyant avancer, s'arrachant une grimace au passage quand le creux de ses reins heurta le muret qu'il venait d'enjamber pour retrouver le confort d'un sol stable et sécurisé.

- J'sais même pas ce qui t'es passé par la tête pour te croire le bienvenu ici Donovan. On était loin de la peur précédente, et même si son palpitant battait encore de travers, ça il n'avait pas d'yeux à rayon X pour le voir donc elle pouvait bien feindre l'ignorance et l'indifférence histoire de lui prouver ô combien elle se foutait de son sort et de tout ce qui pouvait bien le concerner. Et là, il déblatéra, un peu comme un pilier de comptoir mais avec bien moins de peps et une trogne à faire peur. Il parlait de fil, d'aiguille, de nécessaire à couture dont il avait absolument besoin ainsi que d'un verre, et sans doute pas de lait fraise, pour accompagner le tout et lui éviter de jouer les infirmières. Toute proche de lui, sans le vouloir, après tout il l'acculait contre le garde corps désormais, plus encore quand sa main glissa sur elle à lui subtiliser maints frissons aussi agréables qu'ils lui rappelèrent de mauvaises choses, Olivia agrippa ses doigts et les flanqua sur le sommet du muret. T'es complètement bourré c'est ça ? Passant sous son bras, elle se retrouva dans son dos, lâchant même un rictus dédaigneux. Pourquoi, t'as réellement cru qu'il pouvait plus se passer d'toi, genre amoureux transit ? Roméo qui pleure la présence de sa Juliette ? Elle en déglutit, blessée, mal à l'aise, mais préféra secouer la tête pour chasser tout ça de son crâne. J'ai pas l'intention d'me déguiser pour toi ou quoi qu'ce soit d'autre. Et si t'as l'intention d'te mettre à la couture tu peux aller t'faire fout ....... Et là, Barns sourcilla quand ses yeux glissèrent contre le haut de son bras, sur la soie qui, rose pâle dix secondes plus tôt encore, avait pris une teinte vermillon qui l'obligea à redresser mollement les cils sur lui et là, sur son épaule d'où pleurait des larmes qui n'avaient strictement rien à faire à l'air libre à contrario de celles qu'elle avait pu verser à cause de lui. Il était blessé ? C'était pour ça le fil et ….... Oh … put.... merde.

La brunette s'approcha de lui, dégrafant les pressions de sa veste dont elle dégagea vivement les pans pour voir l'ampleur des dégâts avant de redresser les yeux, proche de lui, pour capturer la lueur dans le creux des siens. Il était blessé, c'était assez sérieux d'ailleurs et à en juger l'absence de perforation à son omoplate, la balle était encore là. Elle en pâlit elle même avant de l'aider à avancer, rentrer à l'intérieur sur les notes crachées par les baffles qui l'invitèrent à ravaler sa salive tant c'était pas le moment. « Faisons l'amour avant de nous dire adieu », le tatoué lâché sur la méridienne du sofa, elle agrippa la télécommande et cloua le bec aux deux chanteurs avant de foutre le camp dans la salle d'eau pour en extirper une trousse qu'elle avait plus l'habitude de sortir pour Sage que pour qui que ce soit d'autre. Le nécessaire à portée, elle revint dans la pièce puis s'installa près de lui dans le but de lui ôter veste et chemise à coup de ciseaux. Peu importait qu'il jure, râle ou autre.

- Si tu meurs t'en auras plus besoin donc tais toi, laisse moi faire. C'était comme recoudre un tissu, Ezel lui avait déjà montré, y avait rien de sorcier. Désinfectant, pince, bétadine, Olivia inspira un grand coup puis envisagea lui retirer la balle avant de l'observer, figée, puis de lui assener une belle gifle avant de s'y mettre le temps que la douleur irradiait dans sa joue. N'y vois aucune malice, c'est uniquement car je n'ai pas anesthésiant et que l'alcool ça fluidifie le sang donc, la seule chose que tu pourras boire dans ton état c'est de l'eau ou quelque chose de sucré. Voilà, la pince aimantée agrippa le corps étranger et elle l'abandonna dans une coupelle avant de presser une gaze désinfectante contre la plaie pour mieux fondre dans son regard gris. Ce regard, elle y avait vu danser le désir, une chose jamais vue jusqu'à lui, du moins jamais de cette manière, une chose absente ici mais qui, à son souvenir, la fit frissonner puis baisser les yeux. Tiens ça, je vais préparer l'aiguille, ….... En attendant tu peux me dire ce qui t'as valu ça ? Une maîtresse bien moins docile, plus « piquante », peut-être ? Sa conscience en émit un rictus tant c'était bien envoyé, cependant son cœur s'en tordit, comme si elle en avait réellement quelque chose à faire de lui.....

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Mar 16 Fév - 17:39
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Donovan M. Harvey
Age : 38 ans (né en X194)
Miscellaneous : Branleur, flambeur, dragueur, et bagarreur. Plutôt du type sang-chaud, quand il s'agit de partir en mission Donovan sait garder son sang-froid. Son coeur bat de travers depuis qu'elle est plus là. Sa cause vacille, la vengeance le fait rêver et l'alcool le fait tenir. Son fusil de précision c'est un prolongement de son bras. Bref, vous êtes sûr de vouloir l'emmerder à ce grand con ?
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Donovan M. Harvey
Qu’est-ce qui lui était putain de passer par la tête ? De la merde sans doute, la certitude que son sourire de loveur, son regard de ciel pluvieux et toutes les sensations qu’il était certain de lui avoir fait découvrir seraient suffisants pour qu’elle l’aide. Ca et le fait que tu la prends pour la nana la plus naïve et gentille de la création, bref une courge. C’était moche mais ouais, Donovan avait cette certitude que le peu de poison qu’il avait insufflé dans ses veines en deux rencontres serait suffisant pour qu’elle l’aide, qu’elle le laisse pas clamser là. Parce qu’il était pas bien, il était mal au possible, livide et pas bourré comme Olivia semblait le croire alors qu’elle le fuyait. « P’tain Olivia j’suis pas là pour … » Pas là pour ça même si évidemment, ça trainait dans un coin de son crâne en glissant le regard sur ses jambes dénudées. Il en aurait presque ri le tatoué, qu’elle cale pas un mot de ce qu’il lui braillait. Sauf que ça prêtait pas à rire dans le fond. Oh que si, comme une punition divine. Tu l’as prise pour une conne et elle s’avère être un peu simplette en matière d’urgence et d’observation de l’urgence. Comment lui en vouloir, c’était pas son monde à elle, ça manquait de paillettes, de strass, de faux semblants.

S’esquivant de sa proximité et manquant de le faire valdinguer au passage, Donnie dut son salut qu’à la balustrade contre laquelle il reprit appui alors qu’enfin la brune remarquait qu’il se vidait de son sang. Hey espérons qu’elle chante mieux qu’elle voit. Bordel la ferme c’était pas le moment de se foutre d’elle. En un instant, Barns fondit sur lui pour défaire sa veste et la dégager de ses épaules. Elle faisait pas de malaise ? C’était étonnant, pourtant il la pensait mal habituée à la vue du sang. « Hey easy babe, j’suis pas un gars facile … » plaisanta-t-il finalement pour contrebalancer l’inquiétude qu’il voyait dans ses yeux et qui devait son miroir dans les siens.

Affaibli, Donnie se laissa trainer à l’intérieur, s’affalant sur le sofa sans même prêter attention à la musique, sinon sans doute que sa conscience l’aurait rappelé à ses premières amours. La tête lui tournait, profites-en pour te regarder le cul, souffla sa conscience alors que la brunette avait disparu de son champ de vision. Perdu un instant dans ses pensées, à se dire qu’en crevant, il retrouverait sans doute Joey, Donovan l’entendit presque lui dire de la fermer, qu’il avait pas le droit de mourir. Elle ajouterait sans doute qu’elle a pas fait tout ça pour rien. La pensée le fit sourire un instant à peine alors qu’Olivia réapparaissait près de lui, armée d’une paire de ciseaux et de tout le nécessaire à sauver ses miches. Prêt à râler qu’elle détruisait ses fringues, et que lui contrairement à elle il roulait pas sur les crédits, Harvey la boucla, prenant un instant pour réfléchir. « Bien sûr qu’si, on enterre personne à poils. » Juste pour avoir raison.

La starlette sembla avoir un bug, la pince entre les doigts. « Mer- » fut la seule syllabe qui passa ses lèvres fines et blanchies alors qu’elle lui collait une gifle, sonnante, stridente, et amplement méritée quand on regardait toutes ses actions passées mais pas franchement sur le moment. « Putain d’merde Oliviaaa-aïe ! » Okay c’était une distraction, tu dois admettre que c’est bien pensé, mais pas assez pour qu’il pense pas à la douleur dans son épaule. « J’aurais mieux fait de m’rendre chez Hyperion, j’aurais été mieux traité … » souffla-t-il en serrant les dents alors que la balle tintait dans une petite coupelle. Le regard mauvais, Donovan l’abandonna aussitôt il croisa ses yeux de biche. Elle avait un regard dément, un sourire d’ange, comme si chez cette nana, tout respirait l’innocence rafraichissante qui faisait défaut à son existence. Sans doute pour ça qu’il s’était intéressé à elle à Palm Springs. Ca ou le fait qu’elle est sacrément bien gaulée.

A sa requête, Donovan pressa la compresse contre son épaule, grimaçant. Curieuse. Evidemment qu’elle était curieuse, qui le serait pas ? Elle est peut-être pas si conne que ça du coup. Elle était pas conne, ça Donnie en était certain, naïve, enfermée dans une cage dorée, destinée toute tracée dans laquelle elle s’éteindrait, mais pas bête pour un sou. « Un boulot qu’a mal tourné … » Elle t’pense mécano mon gars … « L’type a pas payé la facture, j’ai voulu aller récupérer mon argent moi-même, mais … voilà l’résultat. » Ca le dérangeait de lui mentir, parce qu’elle l’aidait. Mais justement parce qu’elle l’aidait, fallait qu’il lui mente, pour pas lui attirer d’emmerdes avec les hypercons. Il la laissa œuvrer, recoudre cette plaie, son regard oscillant entre son épaule et ses traits de poupée, poupée concentrée, poupée inquiète. Poupée qui méritait pas l’avalanche de merdes qu’il représentait dans sa vie.

La plaie recousue, au terme d’une douleur contre laquelle son organisme lutta avec force, Donovan posa sa main sur le poignet de la chanteuse. « Merci Olivia … j’peux pas rester ici, j’veux pas t’attirer d’emmerdes. » Oh ? Des remords ? Le tatoué se leva, mauvaise idée sans doute, sa vision se brouilla, et aussi vite qu’il s’était levé, Donovan s’affala au sol, manquant de peu de se tordre le cou contre le sofa. Qu’est-ce que tu fais là Pumpkin ?
Ven 19 Fév - 13:42
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Olivia Barns
Age : 26 ans
Miscellaneous : Douce, aimante, à l'écoute, Olivia est une petite guimauve sans mauvais fond. La vie lui apparaît belle, sans ombre au tableau, elle reste naïve malgré son grand cœur, influençable sans nul doute. Sa carrière est florissante, chanteuse à succès et connue de quasiment tout Pandore, elle est l'égérie de certains jeunes des grandes citées telles que Sanctuary et Opportunity. Très proche de son demie frère, aimée par les siens, la jeune femme a beaucoup à offrir aux autres même si, de toute évidence, elle pourrait bien se faire berner sans le voir venir. Pour ceux qu'elle aime, elle serait prête à faire énormément de choses, bonnes ou mauvaises.
Localisation : Sanctuary
Date d'inscription : 25/03/2020
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Olivia Barns


► Light in the dark...
I CAN ONLY TAKE SO MUCH
Donovan
Ouuuutch... Il lui sembla la visualiser la petite voix, un œil plissé, la bouche en cul de poule. T'y es peut-être allée fort. Non, du moins il fallait bien le focaliser sur une autre douleur que celle qu'elle intensifiait en y plongeant la pince aimantée. Puis, par ailleurs, il la méritait cent fois cette claque. Méticuleuse, attentive à ce qu'elle faisait, Barns parvint à lui extraire le projectile qui rejoignit une coupelle puis elle agrippa rapidement une gaze et compressa la plaie avant de lui quémander de s'en charger, simplement le temps qu'elle enfile l'aiguille.

- Hyperion ? … Oooh l’hôpital Bha oui, quoi d'autre sinon ? C'est pas comme s'il t'avait déjà sorti qu'il était dangereux, un « brigand » même. Elle en roula rapidement des yeux, préférant penser qu'il n'était ni un criminel, ni même recherché comme son attitude l'avait laissé penser des semaines plus tôt. Il était simplement tombé là au mauvais endroit au mauvais moment et ce même si, pour l'heure, l'instant se prêtait à garder les rennes en paumes et à contrôler la situation pour que lui ne puisse pas en être maître à nouveau. Sans doute pour cette raison qu'elle fut sarcastique, mais imaginer qu'une fille ait pu lui faire ça était drôle. Du moins, ça le serait plus tard lorsqu'il ne se viderait plus de son sang sur le sofa. Sans lui prêter un regard donc, la chanteuse glissa le fil dans l'aiguille puis arqua un sourcil quant à sa réponse. Bon, il ne s'agissait pas d'une fille, plutôt d'un client qui n'avait visiblement pas apprécié de payer le service rendu. Suspicieuse un moment, elle fronça les sourcils avant de hausser une épaule puis de se pencher vers la plaie afin de faire les plus belles sutures possibles. Qui aurait pu croire que mécanicien était un métier si dangereux ? Certes il y avait toujours la possibilité qu'un véhicule sur pont vous tombe sur le coin du nez mais se faire tirer dessus, ça… Y a vraiment des gens vil... méchants sur cette planète. Tu devrais porter plainte.

Toujours aussi minutieuse, elle entendit l'autre éclater de rire dans son crâne. Oui bon, ils ne vivaient pas dans la même sphère, pour elle les autorités étaient sans doute efficaces, même très présentes en cas de nécessité mais pour lui …. Les choses étaient clairement différentes selon qui on était. Un fait qu'elle ignorait pour n'avoir côtoyé que des personnes du même monde qu'elle, Donovan étant le premier d'une catégorie qui, pourtant, à ses yeux bruns, n'était pas différente des autres même s'il était doué pour vivre, réellement vivre. Ouais, t'as vu où ça mène, vivre dangereusement et s'prendre une balle, c'est ça qu'tu veux, parce que sans quoi y a toujours l’option corde et tabouret Liv, ça serait moins salissant. Un frisson lui mordit l'échine alors qu'elle coupait enfin le surplus de fil et qu'il glissait la main à son poignet. Une envie monstre de dégager de là la prit, cependant elle se contenta de redresser les cils afin de croiser son regard. Le même effet à chaque fois, ça ne tarissait pas et pourtant il n'y avait bien que les imbéciles pour refaire inlassablement les mêmes erreurs après une chute très douloureuse.

- Qu....uoi ? S'étrangla-t-elle en relevant le menton sur lui qui se redressait. Quoi?!! J'crois qu'il a entendu la première fois, il est blessé pas sourdingue. Le petit monstre intérieur fut chassé, mis en sourdine même, alors qu'elle même se remettait debout pour le suivre pour le peu de pas qu'il parvint à faire tout en lui signifiant qu'il allait pas poser, pas la déranger pas …. Tu peux pas …. Enfin tu m'dérange pas tu ….. t'es blessé, non tu peux pas partir maintenant je ….... Il peut, il te doit rien et je te rappelle que toi non plus, puis c'est mieux qu'il parte Olivia. Non, non et non ce n'était pas mieux et tout en cherchant une raison valable de l'inviter à rester, sans passer pour la demoiselle si solitaire que sa seule présence suffisait non seulement à raviver une certaine passion tout autant que la douleur infligée des semaines plus tôt, Liv posa les yeux sur les restants de sa chemise et la veste tâchée de sang. Le tissu agrippé, elle le lui agita sous le nez avec conviction. Si on enterre pas les gens nus on sort pas comme ça non plus, donc tu ….. Et là, elle sourcilla puisqu'il se coupa lui même et ne réagit que trop tard lorsqu'il s'écroula de tout son long sur le carrelage. Donnie ?!! En un rien de temps la jeune femme s'agenouilla et glissa les doigts à son cou. Sa conscience en levait les yeux au ciel tant c'était ridicule mais la brunette inspira puis mordit sa lèvre inférieure. Bon sang, tu m'en attires déjà des problèmes, même quand t'as pas envie ….. Grand nigaud. Il n’endenterait rien, mais attendre qu'il reprenne conscience sans l'installer un peu mieux n'était pas au programme même si, du haut de son mettre cinquante sept, ce n'était sans doute pas la plus évidente des manipulations à faire. Elle se retrouva donc pliée en deux, à tirer sur le bras valide du tatoué, rouge comme une pivoine, pour le hisser du mieux qu'elle pouvait sur le canapé dans lequel elle valdingua avec le poids de son corps sur elle. Mmmmmph la vache …...... pousse …. toi ! Avec mal, elle s'extirpa de là, se releva et souffla un coup, poings sur les hanches, avant de l'observer. Il était plus agréable comme ça, sans doute car évanoui il était incapable de la blesser, incapable de parler, de faire mal, incapable d'autre chose que d'être juste … adorable. Ahlalalala, c'bien ce que je pensais, t'es entrain de tomber amoureuse et… Rooouh toi chut nom d'une pipe ça n'a rien à voir ! Strictement rien à ... A nouveau elle coula un regard sur lui avant de sourire discrétement. voir.

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Ven 19 Fév - 14:28
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Donovan M. Harvey
Age : 38 ans (né en X194)
Miscellaneous : Branleur, flambeur, dragueur, et bagarreur. Plutôt du type sang-chaud, quand il s'agit de partir en mission Donovan sait garder son sang-froid. Son coeur bat de travers depuis qu'elle est plus là. Sa cause vacille, la vengeance le fait rêver et l'alcool le fait tenir. Son fusil de précision c'est un prolongement de son bras. Bref, vous êtes sûr de vouloir l'emmerder à ce grand con ?
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Donovan M. Harvey
Des  gens vils, méchants … Le tatoué retint un rictus, se contentant de souffler avec tout le dédain du monde ; « C’Pandore ma belle. » Après tout, sur cette planète, se faire rouler dans la farine par un con qui refusait de payer et se faire canarder en tentant de récupérer son dû, c’était juste … la normalité la plus banale. « Mais ouais, j’vais porter plainte, t’as un avocat à m’conseiller du coup ? Et un peu d’blé à m’prêter ? Parce que du coup j’peux pas vraiment m’le permettre vu que ce trou de balle m’a pas payé. » T’es pas obligé de la considérer comme une nouille, elle vit pas dans l’même monde que toi Donnie, tu l’sais. Elle fait partie de ceux qui ont de la chance. Elle faisait partie des chanceux oui, mais finalement on pouvait pas blâmer les gens pour pas savoir. C’était juste plus facile d’agir comme un con, ça l’occupait en plus pour pas penser à la douleur, parce que croyez-le ou non mais se faire enfoncer une aiguille dans la peau à répétition, accompagnée de son petit fil, et pas son petit-fils, c’était putain de douloureux.

Plus silencieux, parce que plus fatigué, la vision trouble, Donnie se tut pour la laisser finir de recoudre la blessure. Son innocence était en un sens rafraichissante, mais elle lui rappelait qu’il avait rien à foutre ici. Olivia Barns avait une vie bien rangée, une vie toute tracée, c’était une vie de merde, chiante à mourir sans doute, mais qui sans doute la tuerait pas de suite. Contrairement à lui dont la vie décousue, risquée était un remède contre l’existence. Aussitôt les points terminés, le tatoué se leva donc, trop vite, trop tôt, erreur de débutant qui savait pas exactement dans quoi il avait mis les pieds en débarquant ici et qui le réalisait que maintenant. Prêt à partir, il dévisagea la starlette qui agita ses fringues déchirées sous son nez. Il avait envie de rire, mais il avait aussi envie de faire une sieste.

La sieste l’emporta, sa vision se troubla définitivement, ses oreilles grésillèrent et en un instant, il s’effondra au sol, manquant de peu de se tordre le cou. La voix d’Olivia comme un écho lointain qui se mêla à une autre voix, sa voix. Dans son esprit, elle était là, Joey. Elle l’observait, bras croisés sous sa poitrine, sa moue emplie de jugement, assise face à lui dans un véhicule qui chahutait pas mal. « Jo … » « Qu’est-ce que tu fous ici Pumkin ? T’as pas autre chose à faire que me tenir compagnie ? » Le tatoué déglutit, se levant de son siège pour aller fondre sur elle, la serrer dans ses bras, même si c’était sans doute qu’un rêve. « J’ai été con… j’ai fait d’la merde, j’ai été blessé, et bon, j’crois que j’ai blessé les gens aussi. Ça a commencé par Patsy, en m’barrant, puis elle, Olivia. T’aurais pas dû mourir pour moi Jo … » « Bah voyons … j’fais encore ce que je veux comme choix et toi aussi. Tu sais bien que j’suis pas là Donovan … Tu sais bien que là, tu parles avec toi-même mais t’as choisi de me donner cette bouille-là … On sait tous les deux pourquoi mais … Même si je te manque, c’est pas encore le moment de me rejoindre, tu le sais. » « Pour faire quoi Jo … c’quoi ma vie sans toi ? Tout ça c’était pour toi, pour nous mais maintenant … quel intérêt ? » « Bouhou … Donovan Mason Harvey, t’es pas une pleureuse, t’es fort, t’es borné. Et si tu vas pas qu’j’sois partie pour rien, tu vas arrêter les conneries.  Tu vas faire une petite sieste et rouvrir les yeux pour remercier la nunuche qui a bien voulu t’aider. Et j’t’ai à l’œil, j’verrai si tu le fais pas. » Le décor changea, le véhicule devint un genre de Barbiturics, Joey devint Patsy et en un coup de torchon bien envoyé Donovan se trouva envoyé dans l’espace-temps.

Un trip, bad sans doute, qui dura quelques petites heures. Le temps dont son organisme eut besoin pour se remettre de la perte de sang. Lorsque finalement il papillonna, une seule impression l’étreignit, celle d’une fois encore pas avoir pu lui dire au revoir. Même si c’était que dans son esprit, même si c’était pas vraiment elle. Le tatoué se redressa d’un mouvement, assis sur le sofa, un brin perdu quant à l’endroit où il se trouvait. « Joey ?! » appela-t-il avant de percuter. Elle était plus là. Elle le serait plus. Il était pas chez eux, chez lui. Il était chez … « Olivia … » Merde, elle était où ? Elle a peut-être appelé les autorités, après tout un type dans ton genre qui débarque à l’improviste, grimpe à la gouttière et se vide de son sang sur ton carrelage impeccablement lustré, ça fait tâche dans sa vie.
Sam 20 Fév - 16:58
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Olivia Barns
Age : 26 ans
Miscellaneous : Douce, aimante, à l'écoute, Olivia est une petite guimauve sans mauvais fond. La vie lui apparaît belle, sans ombre au tableau, elle reste naïve malgré son grand cœur, influençable sans nul doute. Sa carrière est florissante, chanteuse à succès et connue de quasiment tout Pandore, elle est l'égérie de certains jeunes des grandes citées telles que Sanctuary et Opportunity. Très proche de son demie frère, aimée par les siens, la jeune femme a beaucoup à offrir aux autres même si, de toute évidence, elle pourrait bien se faire berner sans le voir venir. Pour ceux qu'elle aime, elle serait prête à faire énormément de choses, bonnes ou mauvaises.
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Olivia Barns


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Donovan
Bon, coller le tatoué un peu plus à l'aise check, maint'nant vas chercher ton frère. Se marra la petite voix tandis qu'elle se redressait, ramenait les cheveux en bataille derrière ses oreilles, puis observait, légèrement ravie, le type étendu et en pleine sieste dans le sofa.

- Hein ? Ça va pas bien dans ta tête ! J'vais pas aller chercher Sage. Un rictus fit écho dans son crâne tandis qu'elle fronçait les sourcils en observant le hall d'entrée depuis le salon. J'te signale que c'est ta tête, donc si quelqu'un va pas bien c'est toi Liv. Certes, elle en roula des yeux, encore sous le coup de la panique, des nerfs, de l'angoisse et de toute cette douleur engourdissante, sourde, mais simplement psychique, que lui infligeait la simple présence de ce type chez elle. Elle n'allait pas filer quérir son frère, ça non, d'ailleurs par pure précaution, étant donné que s'il débarquait à l'improviste et trouvait le tatoué là -  et ce même s'il détestait Eliott au moins autant que Ezel le méprisait – elle essuierait sans doute une autre crise, la brunette s'empressa vers la porte pour en verrouiller l'accès puis recula, comme si le geste l'avait brûlée. Aïe … uhmmm. Elle venait de se manger le coin de table, celle qui  supportait toujours un bouquet de fleurs pour orner le hall, dans la hanche qu'elle frictionnait déjà pour chasser le pincement. Qu'allait-elle faire désormais ? Jouer les mortes si son frère débarquait et trouvait porte close ? Possible, néanmoins elle ne pouvait décemment recevoir personne le temps que Donovan se trouvait là. Fort heureusement Eliott rentrera pas avant la fin de semaine. Une aubaine oui, mais l'idée lui traversant le crâne elle termina par revenir dans le salon pour s'appuyait, comme à bout de force, contre l'encadrement de porte. Un soupir lui échappa. Toutes ses résolutions, tout ce qu'elle imaginait faire cette semaine, tout ça était réduit à néant en à peine vingt petites minutes. A quoi bon balayer devant sa porte si la poussière revenait sans cesse et, surtout, au moment où on parvenait presque à l'oublier ? Tu m'emmerdes Donovan.

Tant pis pour le juron, c'était ce qui lui permit de souffler un peu à défaut de hurler dans un oreiller, puis c'était vrai au delà de ce que pouvaient dissimuler ces trois mots en apparence haineux et sans la moindre personnalité. Elle le haïssait pas une seconde pourtant, comment aurait-elle pu d'ailleurs en le voyant là, endormi – du moins dans les vapes – et à des kilomètres du connard qu'elle avait entrevu dans cette avenue de Sanctuary ? Frémissante, Olivia dévia le regard du faux blond à la baie encore béante. Autant fermer. Si elle avait froid, lui, dans son état, ne supporterait pas plus encore que ce qu'il avait déjà subi pour la journée. En douceur, pour lui permettre de se remettre sans être réveillé, Olivia fila fermer puis s'engouffra dans sa chambre pour enfiler quelque chose de plus couvrant.

Jean, chemisier ciel, elle agrippa un élastique et noua ses cheveux en un chignon grossier sur le haut de son crâne avant de se rappeler que son peignoir était bardé de sang. Sans un mot, espérant ne pas trop cogiter à la suite et au réveil prochain du tatoué, la chanteuse fila dans la cuisine. Lessive sortie, bassine tout autant, elle s'attela à récurer la soie, presque à s'en abîmer les mains, presque à en pleurer puisqu'enfin les nerfs retombaient puis laissaient de nouveau place à tous ces doutes, toutes ces craintes, tout ce que ce type avait enfoui en elle en lui faisant ressentir tout autant de bonnes choses. La douceur et le plaisir avait un prix, ça elle l'imaginait pas une seconde avant de le rencontrer, et si elle avait les moyens de s'offrir bien des choses, elle n'était pas assez riche pour payer le prix que lui avait imposé le tatoué en jouant avec elle des semaines plus tôt.

A bout, la jeune femme s'écorcha la main et ravala la boule que formaient les sanglots dans sa trachée lorsqu'elle entendit sa voix résonner dans l'appartement vide. Merde, il était déjà debout ? Comme prise sur le fait, elle relâcha les fibres dans l'eau savonneuse, s'essuya les mains puis tendit l'oreille en espérant avoir rêvé. Après tout son cœur battait comme un cinglé dans sa loge et vu l'état dans lequel il l'avait mise, sans même en avoir conscience, elle avait pu halluciner. Mais bien sûr... Silencieuse, Barns sursauta en l'entendant à nouveau puis reprit le contrôle d'elle même, une grande inspiration l'y aidant, avant de rejoindre le salon.

- J'suis là, si tu pouvais baisser d'un ton je t'en remercierai. Il valait mieux la mettre en sourdine, histoire que les oreilles affûtées de son frère ne passent pas en mode radar à la recherche de l’intrus chez sa petite sœur. D'instinct, ses yeux filèrent vers le hall puis elle contempla de nouveau le tatoué. Tu m'as fait peur, j'ai cru que t'étais entrain de mourir je ….. enfin bref tu peux rester ça me dérange pas, de toute façon il n'y a que moi toute la semaine puis …... Imagine qu'le type qui t'a tiré dessus recommence, vaut peut-être mieux que les choses se tassent avant, enfin je sais pas mais généralement ils font ça dans les films et …...... Je parle beaucoup trop désolée. La mégère dans son crâne se colla la paume sur le front. Oui elle s'excusait chez elle face au type qui, en un sens, lui avait brisé le cœur sans qu'il y ait pourtant quoi que ce soit entre eux. Tu … t'as besoin de quelque chose ? Un chocolat ? Des céréales ou ….. une douche ? Là, elle vira au rouge et se reprit directement. Enfin j'veux dire tu peux aller te doucher, j'ai préparé une chemise pour uhm Rose, elle agita un peu l'index vers son torse nu, simplement couvert du pansement à son épaule. enfin ça évitera que tu attrapes froid là dessus et, ... Mais restes, s'il te plaît, au moins ça me rassura de pas apprendre qu'un type s'est fait tuer par un autre dans le coin puis, ça te permettra de te remettre... S'il te plaît.

Elle aurait dû le laisser partir, le chasser même, au lieu de ça, sans doute qu'une part d'elle désirait découvrir l'homme derrière le séducteur, ce type qui avait appelé quelqu'un d'autre qu'elle au réveil, ce type qui, même si ça devait être normal après pareil choc, avait une tête d'enterrement qui lui pinçait le cœur.

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Sam 20 Fév - 18:06
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Donovan M. Harvey
Age : 38 ans (né en X194)
Miscellaneous : Branleur, flambeur, dragueur, et bagarreur. Plutôt du type sang-chaud, quand il s'agit de partir en mission Donovan sait garder son sang-froid. Son coeur bat de travers depuis qu'elle est plus là. Sa cause vacille, la vengeance le fait rêver et l'alcool le fait tenir. Son fusil de précision c'est un prolongement de son bras. Bref, vous êtes sûr de vouloir l'emmerder à ce grand con ?
Localisation : Safe Haven principalement
Date d'inscription : 15/08/2019
Rebels | Fondatrice
Donovan M. Harvey
Lentement mais sûrement, son cerveau recollait tous les morceaux. Donovan se souvenait de ce qui l’avait mené ici, chez elle. La mission. Sarah et Raina. Il devait savoir si elles allaient bien, si elles avaient réussi à quitter Sanctuary sans encombre. Règles d’abord tes emmerdes à toi. J’te rappelle que t’as débarqué chez une star de la chanson, fiancée, dans un sale état. Elle risque d’avoir d’autres questions, pas sûr que ton petit mensonge ait pris. Ca avait l’air d’avoir pris la veille. Et il préférait sa conscience quand elle avait les courbes discrètes mais sexy de Joey, quitte à lui meurtrir le cœur et l’âme. Groggy, vaseux, Donnie tourna la tête vers la brune qui rappliqua, normal il venait de l’appeler, pourquoi d’ailleurs … « Désolé, j’crois. »

Et de suite, Olivia se mit à parler, beaucoup, beaucoup trop pour qu’il puisse assimiler tous les mots, dans l’ordre. Son regard gris resta posé sur elle, sourcils un brin froncés, comme si ça l’aidait à se concentrer. « Ouais … un peu trop. » compléta-t-il en se détendant finalement, se pensant hors de danger – le danger de son blablabla incessant – mais que nenni. S’il avait besoin de quelque chose ? Des fringues, déjà. Un truc à bouffer ensuite, et un truc à boire, mais ça la brunette avait été assez claire, c’était pas pour de suite. Quelle rabat-joie. Une douche … « Tu m’y accompagnes ? » souffla-t-il, sourire en coin, avant de secouer la tête. « J’ai compris c’que tu voulais dire Olivia, j’ai l’air con je sais, je suis plutôt claqué là, mais j’ai compris. » Elle avait été assez claire sur le fait que dans le fond elle voulait pas le voir ici. Et pourtant elle t’a aidé.

Le tatoué se leva du sofa, avançant vers elle, écoutant ses mots, cette requête. Elle s’inquiétait vraiment pour lui ? Ou alors elle a déjà appelé toute la sécurité de la ville pour qu’ils viennent te cueillir à la sortie du bâtiment. Non, c’était pas son genre. C’est quoi son genre ? Le genre à l’aider, pas à le balancer. La toisant d’une bonne tête, Donnie s’approcha encore un peu, venant glisser ses doigts à sa joue. « Merci Olivia. T’avais aucune raison d’m’aider mais tu l’as fait. Alors merci. Et j’veux bien utiliser cette douche dont tu m’as parlé … Et j’veux bien … » Des cils, il balaya sa silhouette, malheureusement plus vêtue qu’avant qu’il sombre dans un demi-coma. « Un truc à manger, ça aidera avec la perte d’sang. »

Parce que sa tête tournait encore, assez pour le rendre un peu endormi, mais pas assez pour lui faire louper chaque détail de cette nana face à lui. C’était pas l’envie qui lui manquait de revenir goûter à ses lèvres, perdre les siennes contre sa peau, se perdre à nouveau en elle, c’était les forces. T’es pas possible … t’as failli y passer et tu penses à quoi ? A t’taper ta sauveuse. Quoi, c’était rien de plus que sa façon de lui dire merci. Harvey se recula finalement. « Bon, elle est où cette douche ? » Déjà à prendre la direction indiquée dans ce qui ressemblait à un palace à côté du truc miteux qu’il appelait appartement et qu’il occupait à Safe Haven. « Oh et ton cher et tendre risque pas d’débarquer t’es sûre ? Ca f’rait genre … mauvais genre qu’il m’trouve à poils dans la douche tu penses pas ? » Elle était seule toute la semaine, oui, mais manquerait plus que cet Elliott se décide à lui faire une surprise. T’parles d’une surprise s’il trouve le type qu’a fait planer sa nana dans une ruelle de la ville à poils dans la douche. Exactement c’qu’il disait.
Dim 21 Fév - 15:50
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Olivia Barns
Age : 26 ans
Miscellaneous : Douce, aimante, à l'écoute, Olivia est une petite guimauve sans mauvais fond. La vie lui apparaît belle, sans ombre au tableau, elle reste naïve malgré son grand cœur, influençable sans nul doute. Sa carrière est florissante, chanteuse à succès et connue de quasiment tout Pandore, elle est l'égérie de certains jeunes des grandes citées telles que Sanctuary et Opportunity. Très proche de son demie frère, aimée par les siens, la jeune femme a beaucoup à offrir aux autres même si, de toute évidence, elle pourrait bien se faire berner sans le voir venir. Pour ceux qu'elle aime, elle serait prête à faire énormément de choses, bonnes ou mauvaises.
Localisation : Sanctuary
Date d'inscription : 25/03/2020
Civilians | Administratrice
Olivia Barns


► Light in the dark...
I CAN ONLY TAKE SO MUCH
Donovan
Tais toi misère, tais toi. Stop. Stop oui, elle parlait bien trop, beaucoup trop, mais peut-être que c'était simplement pour s'éviter de buguer à le regarder trop longuement, tout autant pour éviter au silence de peser lourd, bien trop lourd, sur son cœur qui faisait encore n'importe quoi au point qu'elle en sentait les échos vibraient jusque dans ses lèvres, même l'extrémité de ses doigts. Elle parlait beaucoup trop, et lorsque c'était le cas, elle proposait aussi n'importe quoi. Comme l'inviter, que dis-je, le supplier de rester ? Comme ça oui. D'ailleurs elle en mordit l'intérieur de sa joue puisque ce n'était pas correct, sûrement très mal en prime, que d'inviter son amant à vivoter chez le type qu'elle était sensé aimer, chérir, même épouser d'ici quelques mois.

Chevrotante, à bout de souffle sans même avoir fait le moindre effort, Liv inspira une goulée d'air qui sembla former un chapelet dans sa gorge. Lentement elle glissa le menton contre son épaule, tâchant d'éviter au mieux le regard de Donovan. Ses yeux dans lesquels elle s'était complètement paumée les semaines précédentes. Elle l'évita du mieux qu'elle put, pourtant forcée d'y revenir, rubiconde, lorsqu'il lui quémanda de collaborer pour la douche.

- Que---uoi ? Non, je …. Non ! Pas besoin de se lancer dans un argumentaire, ça ne valait pas la peine et ça ne ferait qu'accroître l'emprise qu'il se savait avoir sur elle et qu'elle ressentait là, comme une brume empoisonnée, voguer tout autour d'elle. Et cette impression empira lorsqu'il se releva et fit quelques pas qui semblèrent se calquer sur les battements plus vifs de son cœur. Un instant, Olivia eut envie de tourner les talons, de l'esquiver encore, mais ses cils redressèrent le cap des multiples lézardes contre sa peau à ses lèvres desquelles s'extirpèrent des remerciements alors que ses doigts revenaient saisir la rondeur de sa joue plus chaude qu'elle ne l'aurait été s'il n'avait s'agit de lui. Ce type l'hypnotisait, comme s'il avait un don, une faculté propre à lui seul, connue de lui seul, capable de la clouer sur place et de la subjuguer au delà de ce qu'il était possible d'imaginer ou même croire. Il la fascinait, elle s'y perdait, s'y noyait, plus encore en retrouvant l'éclat sombre de ses prunelles grises alors que ses lèvres vibraient délicatement, fébrilement, à mesure que les mots quittaient les siennes qu'elle aurait à nouveau désirer sentir étreindre leurs jumelles. Toute proche, presque faible, les jambes en coton dont les cuisses se resserraient au rythme de sa voix aussi particulière qu'il semblait l'être, Olivia cessa de respirer comme si c'était la dernière arme dont elle pouvait user pour se préserver de lui. Ça n'eut aucun autre effet que celui de faire pulser son cœur plus vite au point qu'elle gémit presque les derniers mots, ses mots, qui roulèrent sur sa langue. Et tu veux bien ….... oui ?

Le timbre mué en souffle, complètement fascinée, à des lieux de l'instant T, au point de l'imaginer à nouveau greffer les lèvres aux siennes pour un baiser qu'elle savait d'avance parfait, la brunette revint sur terre lorsqu'il conclut d'une toute autre manière que celle qui lui traversait le crâne tel un mirage charnel. La main s'éloignant d'elle, de sa peau, en y laissant une marque brûlante et invisible, Liv papillonna des cils tout en restant là, pantoise, avant de le voir s'éloigner vers la salle d'eau indiquée plus tôt. Dans son crâne la mégère s'étant tue jusqu'à présent pouffa de rire avant de la gifler au point qu'elle en remua la tête en s'adossant, émotionnellement usée, à l'encadrement de porte. Donovan continuait de parler, évoquant Eliott dont elle murmura le prénom avant de sentir une vive douleur lui remuer les tripes.

- Non enfin …. non c'est sûr et …. j'ai verrouillé ! En lâchant ces mots, bien trop vite, elle ferma les yeux parfaitement conscience que c'était d'une profonde débilité puisque Eliott avait lui aussi un jeu de clés, qu'un verrou ne l'arrêterait pas s'il désirait rentrer plus tôt. Mais bon, ce qui était dit était dit. Ça sera pas la première fois que tu passes pour une nouille devant lui. Les vêtements sont sur la vasque ! Et … si t'as b'soin d'aide tu m'dis je ….. Enfin non je....  J'parlais du pansement. Donc, enfin bref. Elle en soupira, penchée en avant un moment pour voir par delà le corridor la porte entrebâillée de la salle de bain où il venait de disparaître en la laissant là, gavée d'un panel d'émotions diverses et variées, capable de la remuer autant que de lui rappeler, dès qu'il s'éloignait d'elle, qu'ils n'étaient rien l'un pour l'autre. Tu …...... Tu veux du sucré ou du salé ?

Lèvres pincées, tâchant de lancer un tout autre sujet dans le but de noyer sa connerie précédente, Liv s'éloigna dans la cuisine pour entreprendre de vérifier ce que Sonia, la femme qui l'aidait ici parfois, avait pu mettre au frais. Peu importait la réponse, il y avait les restes d'un plat cuisiné la veille et étant donné l'heure, puisque le tatoué était resté hs un petit moment, mieux valait passer au dîner. Barns réchauffa donc l'assiette et la déposa dans le salon avec des couverts avant de s'installer au piano pour y sortir quelques notes qu'elle espérait capables de lui vider la tête. Ouais bha, tu lui as quand même proposé de passer la semaine avec toi, alors j'pense que c'est autre chose que ta tête qu'il espère vider. Rouge vif, malgré la mélodie qu'elle joua pendant quelques bonnes minutes, la chanteuse manqua son coup en un couac symphonique en sentant le rouge lui cuire à nouveau les joues.

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Dim 21 Fév - 16:58
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