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Stepmother ? You are kidding me ?
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C'est à peine si elle bouge un sourcil alors que je la menace, elle et son homme, mais je me démonte pas, je continue ma démonstration de force, parce qu'elle ne veut toujours pas comprendre que je suis la digne fille de mon père et que le dicton veut qu'on ne nous casse pas les noisettes que je n'avais pas. Et que 'Pa disait qu'Ikou les avait pas non plus. 


Enfin... Je fulmine, tentant de me contrôler jusqu'à entendre comme un semblant de menaces ? Mon père dans un trou ? Elle ose vraiment menacer l'un des hommes les plus dangereux de Pandore ? Elle ose même dire que mon père aimerait bien casser sa pipe comme s'il était suicidaire ? Je n'y comprends rien. 

Tout ce que je capte, c'est qu'elle a été trop loin, alors j'envoie la première lame valser dans son faire valoir avant de jouer avec une seconde, pour reprendre de plus belle avec l'espoir que cette fois-ci, elle comprenne enfin qu'elle me devait le respect en ces lieux. Elle semblait l'avoir compris d'ailleurs, puisqu'elle se saisissait de son couvre soleil en forme de parapluie, comme si elle s'apprêtait à décarrer.

- C'est ça, bon vent ! Lançais-je, prête à en rajouter, je fus couper dans mon élan par la pointe qui vint s'écraser sous mon menton... Hoer...


Le souffle coupé, sous la menace de cette étrange arme, c'est la seule insulte qui m'était venu à l'esprit. Un mot de la langue de maman qu'Ikou m'avait appris, tout en l'écoutant, non sans me souvenirs des précieux conseils de Patsy... Elle m'avait pourtant dit qu'exposer mes couteaux et vouloir imiter mon paternel finirait par me jouer des tours à mon jeune âge. Ca prenait tout son sens aujourd'hui, avec cette minuscule pointe qui renfermait je ne savais quel calibre, mais assez proche pour qu'effectivement, même le plus petit repeigne réellement le sol de l'entrepôt comme elle menaçait de le faire.

- Baissez vos armes ! Putain baissez vos armes ! Parce que bien sûr, les hommes présent avaient réagi au quart de tour en voyant la descendance de leur patron adorée sous le joug de cette mégère blonde. Le cliquetis de leurs canons avait fait écho dans tout le bâtiment. J'vous conseille de virer ce truc de ma face, parce que si je meurs, vous allez le regretter.

Certes, ça fait froid dans le dos, ça donne une donne d'adrénaline d'être ainsi à la merci d'une femme qu'on menaçait quelques secondes plus tôt. Mais je suis pas prête à me démonter. Juste à accepter de faire preuve d'un respect hypocrite si ça pouvait lui plaire vu comme la situation partait en vrille. Mais jamais Zuiker Anderson Wanyyou ne baisserait les yeux en suppliant pour sa vie. Bien que je n'ai aucune envie de la perdre. Mes sourcils continuèrent d'être froncés à l'extrême, j'attends de voir si elle en est vraiment capable, sans réellement être capable, pour ma part, de la menacer de nouveau puisqu'elle tient ma vie au bout de cet "outil". La vieille Patsy a souvent raison.. Oh, ça oui, je comprenais bien maintenant, ses avertissements. Jusqu'à ce qu'une porte s'ouvre. La porte de nos appartements. 

Sauvée par le gong...


Ou par mon adorable grand-mère. Ne lâchant pas pour autant le regard, toujours noircis par une haine qui faisait trembler mes lèvres tandis qu'elle envoyait balader ma lame en un geste, se ravissant quand à sa menace. Qu'est-ce que c'était que ce bordel ? Oh, je comptais bien lui dire, surtout que son arrivée semblait avoir calmé cette sale cliente à la mords-moi le noeud...

- C'est la dame Mamie... Commençais-je à tenter de me plaindre avant que mamie ne reconnaisse celle-ci, la saluant chaleureusement, à mon grand énervement. Je profitais de l'attitude chaleureuse et excentrique de ma belle mamie pour me cacher derrière ses jupons et lui laisser saluer la dame qui m'invectivait. C'est pas vrai mamie !

Une tentative de défense, avec un timbre voix bien différent de celui que j'avais en menaçant "Madame Petrova", non, cette fois-ci, il était redevenu enfantin, plaignant même. Pourtant, au lieu de l'effet escompté, mon aïeulle s'abaissa à ma hauteur pour me saisir les mains et me dévisager avec désapprobation.

C'est vrai ce que dit Dame Petrova ma petite chérie ? Tu as osé mettre en doute ce qu'elle disait ?


- Mais Mamie, c'est elle qui a...

Teu-teu-teu ma grande, ne me mens pas, pas à moi, fit-elle en me relâchant pour se redresser et offrir un sourire chaleureux à notre "hôte". C'est moi qui vous présente mes excuses Svetlana, pardonnez ma petite-fillote, elle est encore... impétueuse...


Faisant volte face, d'un claquement de doigt, Deana avisa l'assemblée, sommant aux hommes présents de retourner à leur activité, que le spectacle était terminé.

Zuiker... Reprit-elle en me caressant les cheveux. Ton papa fait toujours preuve de respect avec nos hôtes de marque et je crois que tu dois des excuses à m'dame Petrova.


Des excuses ? Et puis quoi encore ? Il faudrait que lui cire les talons ? Je m'apprêtais d'ailleurs à protester mais celle-ci m'en empêcha en posant un index sur ma bouche.

Teu-teu-teu, recommença-t-elle. Quand on est une gentille fille, on écoute sa mamie. Tu présentes tes excuses maintenant.


Dévisageant celle-ci avec hargne, j'obtempérais tout de même, non sans détourner mon attention de ses billes bleues et satisfaite. Oh oui, ça l'amuse que je me fasse gronder ! Pfff.... Oui, ça devait vraiment l'amuser mais, j'obtempérais après quelques secondes à bouder, les bras croisés, balayant l'air avant de prendre le ton le plus hypocrite qui soit.

- Je suis désolée Madame.

Voilà, tu vois quand tu veux ma chérie. Bon... Hé bien on dirait que mamie Deana va devoir t'assister pour éviter que tu ne joues encore la méchante petite gamine hein ? Lança-t-elle en s'asseyant sur le fauteuil que j'occupais précédemment, se servant du verre rempli que Kurk avait à peine oser toucher. Rasseyez-vous donc ma douce Svetlana. Reprenons sur de bonnes bases. Et dîtes moi ce qui vous ferait plaisir pour oublier cet.... incident, dirons nous ? 
Dim 30 Aoû - 14:38
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Nul doute que Drake allait lui briser copieusement les rouleaux pour avoir attaqué sa précieuse progéniture, si c’était vrai ça aussi, mais Svetlana s’en cognait pas mal à l’instant. Personne lui manquait de respect, surtout pas une mioche qui voulait jouer les grandes. Mais même là, avec la lame qui lui chatouillait la gorge, la gosse gardait son franc-parler. En un sens, elle était impressionnante, et sa connerie l’était tout autant. Un sourire mauvais étira les lèvres de la blonde, juste avant qu’une voix criarde au possible vienne interrompre l’échange. Quel dommage. Quelle chance ! Deana Anderson en personne. Par chance, Petrova s’entendait bien avec la vieille Anderson, mieux qu’avec la petite du moins.

Reculant, elle leva les yeux au ciel à la réponse de Zuiker, réponse digne d’une enfant, qui passa inaperçue dès lorsque Deana reconnut la reine de Lynchwood. Et toc la marmaille ! Trop fière et satisfaite pour une adulte, Svetlana observa la gamine qui se faisait réprimander par sa grand-mère, même si tout ça confirmait donc l’histoire de la filiation. Bah merde alors, Drake avait vraiment donné de sa personne pour que cette gosse voit le jour … Quelques secondes de bonheur pour une vie d’emmerdes, pas sûr que ça vaille le coup. « La fougue de la jeunesse … » Ca se pardonnait, même si ça s’oublierait pas de si tôt. Quoique voir Zuiker obligée de s’excuser finalement, ça valait bien qu’elle passe l’éponge.

« Oh voyons Deana, l’incident est déjà oublié. » Bob maugréa dans son coin, se valant un regard noir de sa reine. « Bob utilise ta paire de couilles et endure ça bordel, Jacen s’occupera de toi quand on rentrera. Préviens-le de suite. » Reportant son attention sur la bonne femme et sa petite fille, Petrova reprit. « Je pensais trouver votre fils ici, pour terminer les … négociations. Mais s’il n’est pas là je vais me contenter de repartir avec ma cargaison, Drake saura où me trouver s’il a quoique ce soit à redire. Je voudrais juste m’assurer que le prix négocié avec votre très cher fiston reste en vigueur. » Car elle voulait pas payer plus que la somme convenue quelques jours auparavant.

« Bob c’était combien déjà ? » Le gros lard chouina encore un peu avant de fouiller dans sa poche pour vérifier sur son interface ECHO qu’il venait d’utiliser pour prévenir Artner. « Mille crédits pour les armes, pardon mille cinq-cents crédits. » Svetlana agita sa main pour le remercier avant de sourire aux deux Anderson. « Vous devez être si fière Deana … j’ignorais que Drake avait une fille. » Jalouse ? Non, curieuse. La blonde savait bien qu’Anderson avait couru les jupons de toutes les paires de miches de Pandore, elle faisait juste pas exception mais elle s’en fichait bien, l’important était la ferveur du moment et le fait qu’aucun des deux cherchait de noise à l’autre. « Rassure-toi morveuse, j’t’aurais pas tuée, même si c’était pas l’envie qui m’manquait mais … t’as une paire de couilles plus grosses que la plupart des types ici présents, j’apprécie d’voir une femme qui sait gérer des affaires. D’ici quelques années, tu pourras faire de grandes choses. » Et elle était sincère la blonde.
Ven 11 Sep - 13:37
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Mon corps exprimait toujours ma désapprobation malgré les excuses exprimées, j'étais renfrognée dans le canapé pendant que mamie s'excusait auprès de cette blonde, un peu trop souriante à mon goût à la vision de mamie me grondant.

La fougue de la jeunesse... J't'en foutrais... marmonnais-je, mes lèvres bougeant sans qu'une seule syllabe en sorte, trop apeurée par une nouvelle soufflante de mamie si elle entendait mes pensées. Déjà oublié, parle pour toi !

Mon regard mauvais finit par quitter la blonde pour m'intéresser à son acolyte, encore en train de pleurer sur la pauvre lame que j'avais vivement envoyé dans ses jambes. Comme s'il allait en mourir. Tocard ! Je visais comme une championne, j'savais qu'il aurait aucune séquelle ce gros pleurnichard grasouillet, il boiterait quelques semaines et ne garderait qu'une vilaine cicatrice.

Un léger sourire étira mes pétales en le voyant se faire invectiver à son tour, comme mamie l'avait fait pour moi. Pas que ça rende la blonde sympathique à mes yeux pour autant, non, ça, c'était mort et enterré. Mais c'était marrant que je n'sois pas la seule à qui on remonte les bretelles.

J'en choppais même des ailes, en saisissant de nouveau la bouteille pour me resservir une rasade. Mamie étant occupée avec Petrova la méchante , elle ne le remarqua même pas, avant que j'ouvre la boîte de cigare offerte pour en prendre un le sentir et claquer des doigts vers Kurk, le seul autorisé à rester derrière le canapé et suivre l'échange pour qu'il me prête un briquet.

- Dis donc jeune fille ! Qu'est-ce que tu fais ? Lança-t-elle en s'excusant d'un geste envers la quarantenaire pour envoyer une pichenette dans mon cigare, me faisant croiser les bras en guise de protestation tandis qu'elle posait les yeux sur le verre, prête à me l'arracher des doigts avant que je l'agrippe pleinement à deux mains. Et tu te mets à boire ! Non mais !

- Roh, c'est bon ! Papa il me laisserait fumer j'suis sûr. Et il m'a déjà laissé boire. Alors j'fais c'que j'veux !

Le regard désapprobateur de mamie en disait long. Elle relâcha le verre et me laissa en avaler une lampée, non sans soupirer bruyamment, ses poumons noirs sifflotant. Ce fameux bruit qui voulait dire qu'elle allait finir par me souffler dans les bronches... Tôt ou tard. Soit, quand cette cliente serait partie si je restais calme. Soit, si j'osais encore l'ouvrir pendant les négociations.

- La fougue de la jeunesse, comme vous dîtes ! Reprit-elle, sur un ton dépité avant de retrouver son sérieux et de se concentrer sur son interlocutrice, sans me sommer de rester les fesses sur le canapé en m'observant récupérer le cigare et l'allumer pour rejoindre sa gauche de nouveau. Soit alors, ce sera milles ! On vous doit bien une petite ristourne pour excuser le comportement de ma... Un oeil énervé bifurqua brièvement vers moi, qui jouait la grande en crapotant mon cigare. Mon fils n'y verra aucun inconvénient... N'est-ce pas ?

Elle semblait me questionner mais ses mires disaient autre chose. Ca allait barder quand papa rentrerait, si ce n'était pas avant. La réduction qu'elle offrait, c'était une manière de me punir en vérité, ça se lisait facilement. Même si c'était pas elle qui me punirait, fallait que je m'y attende.

- J'en sais rien mamie, t'as dit que tu m'assistais mais c'est toi qui fait tout !

Impétueuse, ça n'avait pas l'air de plaire à ma grand-mère, qui sans se saisir du cigare avec lequel je jouais, envoya une pichenette à travers pour qu'il s'envole de nouveau en m'invectivant du regard.

- Fière ? Oh ma chère Svetlana, si vous saviez Souriante de nouveau en reposant le regard vers notre cliente du jour, mamie sembla s'amuser de m'entendre ronchonner en m'observant aller ramasser à nouveau le cigare du coin de l'oeil, vexée. Nous l'ignorions nous aussi, c'est bien pour ça qu'elle a encore quelque chose à apprendre, comme vous pouvez le voir !

Mes fesses embrassèrent de nouveau le canapé et l'attention de mamie par la même occasion, qui redevenait soudainement douce, me caressant l'arrière du crâne affectueusement tandis que la blonde me causa de nouveau.

- Si vous le dîtes ! Répondis-je en crapotant une nouvelle taffe et en envoyant valser ma main à travers le nuage de fumée recracher pour capter ses yeux bleux. Moi j'vous aurais tué. Puis vos cigares, c'est d'la merde ! Papa il va même pas aimé !

Le retour de la gamine boudeuse. Et de la mamie sévère qui agrippa finalement le cigare de mes mains, puis le verre pour le descendre d'une traite.

- Zuiker ! Maintenant ça suffit ! Tu arrêtes de boire ! Tu arrêtes de fumer ! Et tu vas prendre ton goûter !

Mon goûter ? Oui, j'aimais bien manger des pâtisseries arrivé en milieu d'après-midi ! Mais c'était me mettre la honte que de l'exposer face à cette dame là !

- Mais... Mamie !

- Y'a pas de mais ! Allez hop ! Directive, elle étira son bras vers nos appartements, me congédiant sans cérémonie. Je disais donc... Comme vous le voyez, ça ne fait pas bien longtemps qu'elle nous a retrouvé et je pense que son père va devoir lui apprendre encore une ou deux choses. Fit-elle en faisant rouler mon cigare entre ses doigts. Enfin bref. Cette petite ristourne vous convient-elle ? Interrogea-t-elle en claquant des doigts derrière sa nuque, faisant comprendre à Kurk de commencer à préparer la commande tout en poursuivant une discussion plus légère avec la reine de Lynchwood. Tout est prêt ? Questionna-t-elle enfin, quand une équipe de cinq, plusieurs caisses chargés sur un diable, attendait le reste de ses ordres.

De loin main sur la poignée, j'avais observé la scène en sentant l'alcool monter dans mon sang, jusqu'à ma tête. C'est peut-être ce qui me poussa à me faire remarquer en hurlant une dernière phrase, puérile, avant de monter.

- De toute façon ! J'm'en fous ! J'le dirais à papa !
Sam 12 Sep - 14:01
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