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White Rabbit in the club
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Main sur la hanche, un sourcil arqué et les lèvres entrouvertes en un petit rictus du genre « tu me prends pour une courge » la blonde l'observa. Cet argument, ça n'en était même pas un, à peu de chose près on aurait pu l'associer au comportement puérile d'un gosse de cinq ans mais bon... Mais bon, c'est Firmin. Oui, pas de doute la dessus, c'était bien Dustriel et sa fierté, son bagout et son vocabulaire à couper au couteau là, face à elle, qui bien que vulgaire à ses heures, avait malgré tout le cœur sur la main au point de foutre en l'air la soirée, et l'avenir sans doute aussi, de deux tricheurs de bas étage.

- Ouais, mais ça t'empêche toujours pas d'essayer de tirer, toi. Qu'importait l'argumentaire, ou tout l'or du monde, qu'il puisse même déposer des tonnes d'eridium à ses pieds, elle ne céderait pas à ses avances. A son regard clair et rieur, c'était rien de plus que de l'humour, des boutades égrainées aux quatre vents, de quoi prêcher pour sa paroisse alors que, supposément et parce que le dicton le disait surtout, le clocher était pas forcément des plus grandioses. Tu sais ce qu'on dit en plus, c'est ceux qu'en parlent l'moins qu'en font l'plus, Reprit-elle en faisant volte face pour l'amener vers le bureau de la patronne, où était entreposée une trousse de premier secours depuis qu'Adam avait tendance à faire des siennes, avant d'approuver en un mouvement bref du menton qui fit doucement voleter ses deux couettes multicolores. mouais …. Un truc dans c'genre là !

Dans le dos de l'éboueur, sans qu'il l'ait remarqué sans doute, Ed les suivait pour mieux s'étaler là, dans l’entrebâillement de la porte qu'ils passèrent. Son fidèle compagnon, toujours là pour elle, où qu'elle aille et quoi qu'elle puisse faire, cette boule de poils était sans doute le meilleur investissement de sa jeune existence. Nul besoin de garde du corps, ni même de sécurité, quand on avait un animal aussi loyal et docile que cette Hyène. L'invitant à s'installer sur une chaise, Collins farfouilla dans les placards, à la recherche de l'arche perdue, sans se soucier de la vue qu'elle lui offrait sur son postérieur. De toute évidence, et de part sa tenue – salopette oblige – y avait pas de quoi fouetter un chat ni même faire lever le chapiteau. Mais bon, c'est Firmin ! Exact, c'était Firmin Dustriel, du genre à tomber amoureux d'une paire de fesses, ou d'une paire de seins, avant même de connaître le nom de son interlocutrice, peut-être même avant d'avoir jugé l'état du faciès de son interlocutrice. Du genre à dire que c'était comme les crevettes : on arrache la tête. Brrrrrr, l'image l'invita à frissonner, remuant même les épaules tandis qu'il poursuivait sur sa lancée.

Roulant des yeux, échine courbée dans les entrailles d'un meuble, alors qu'il lui rabattait les oreilles avec des déclarations qui n'étaient rien de plus que de grosses fadaises, aussi grosses que lui sans doute, Faye inspira de satisfaction en empoignant, avec précautions comme s'il s'agissait d'un trésor de valeur, la petite valisette à croix blanche.

- De qui t'es pas amoureux toi au juste ? Rétorqua la jeune femme avant de se tourner, arquant les sourcils en glissant la langue par delà son sourire, pour ensuite poursuivre d'une traite sans encore lui laisser le temps de répondre. Mille excuses … j'devrais plutôt d'mander de quoi … Mais, Là encore, sans lui laisser l'opportunité de l'ouvrir, elle glissa la main sur sa joue, douce au possible, avant de lui agripper l'arrière de la nuque, une poignet de cheveux entre les doigts – sans lui faire mal pour autant – pour qu'il incline la tête sous sa seule impulsion. Moooooh, mon p'tit lapin a bobo … c'est trois fois rien, mais il faut bien préserver sa monture, t'es pas d'accord ? Saisissant son regard, tandis qu'elle ouvrait la boite et en extirpait une gaze pour l'imbiber de désinfectant, elle en rit avant d'entendre Eddy en faire de même. A croire que cette bestiole comprenait tout, néanmoins il n'avait pas repris le poubelleux en ce qui concernait le terrain de jeu. Un nouveau soupir firent se révulser ses yeux. Ces deux billes claires roulèrent sous ses paupières et, sans prévenir, elle lui colla la gaze sur le nez et le pinça légèrement tout en lui offrant un large sourire. Avec tact, malgré son allure franche et brute de décoffrage, Faye agrippa délicatement la main du jeune homme pour la ramener vers la gaze. Il n'avait plus qu'à maintenir le crâne en arrière un moment et les saignements cesseraient d'eux mêmes. Cependant, en replaçant le nécessaire dans la valisette, elle remarqua un petit quelque chose qui pourrait sans doute calmer les ardeurs incessantes de cet ami aussi particulier que l'était son phrasé imagé. L'seul truc que je serai disposée à insérer, ici ... Sa voix plus suave lui caressa l'oreille avant qu'elle lui agite, sous le nez, comme si elle tenait là la queue d'une souris au dessus de la gueule béante d'un chat, ce qu'elle venait de trouver ; un tampon. c'est ça … Et crois moi c'est très efficace quand on a l'nez en chou fleur mon p'tit chat. … Sa main fit aller et venir l'ustensile aux dessus de ses mirettes grises. Alors, tu vas être sage … ?
Sam 22 Aoû - 20:27
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Cruelle et drôle de façon de rebondir sur le mot "tirer". C'était du Faye tout craché ça. Elle n'en loupait jamais une, surtout quand c'était moi qui parlait. Mais c'était aussi ce qui m'attirait chez elle, en dehors du fait que ce soit une bonne grosse bombasse, elle était... Elle-même autant que moi. Aussi nature que je l'étais. On se fichait bien de l'avis des autres. C'était un peu plus qu'une simple envie de la sauter quand j'y pensais, elle avait vraiment ce petit truc en plus. Nature et cruelle au point d'insinuer que je savais pas me servir de mon engin. 

- En même temps, quand mes cibles refusent de succomber à ma belle gueule, j'risque pas de décharger grande cartouche ailleurs que sur la lunette des toilettes après m'être satisfait à la main ma belle !

Enfin, soit, par cible, j'entendais bien sa jolie p'tite paire de fesses que j'pouvais pas m'empêcher de rouler sous mes yeux alors qu'on gagnait une pièce plus calme. Alors certes, elle aimait placer des barrières entre nous. Barrière qu'elle brisait paradoxalement en jouant la gentille petite infirmière. 


Cette jolie Fayounette était incompréhensible. Incompréhensible au point d'en être fascinante. Cette froideur chaleureuse qui émanait de ses répliques, de ses mimiques. Ça faisait d'elle, l'un des grands défis que je voulais relever. Réussir à chopper cette bombe à la fois froide et chaleureuse. Cette fille sexy qui remettait en question mes allégations fallacieuses quand au soit disant amour que je lui portais. 

C'est qu'elle te connaît bien Fifi hein, tu peux pas l'endormir comme les autres elle !


Elle n'avait pas réellement tort même si la réelle question était plutôt "De qui j'étais réellement amoureux ?" Si ce n'était de moi même. Enfin, elle était à deux doigts de me rendre réellement amouraché, en me dévorant du regard, affublée de ce sourire, passant sa langue sur les lèvres d'une façon... érotique ?


Non, y'avait rien d’érotique, c'était juste Popol qui commençait à s'redresser de nouveau à travers mon jean parce que j'voulais m'la faire, simplement... Alors le joyaux qu'ornait mon caleçon se réveillait sous ce passage de langue sur ses lèvres en l’interprétant mal. Calme toi Onyx, on a pas encore gagné...


- Qu'est-ce que ça veut dire ça ? Interrogeais-je en feignant un air exagérément outré. Tu remets en doute l'amour que je te porte, à toi, ma petite Faye d'amour ?


Ouais bon, j'en faisais un peu trop... Mais elle n'y allait pas de main morte non plus sur ses dires. D'ailleurs, sur ses gestes non plus. Autant la caresse fut douce, si douce qu'elle failli réveiller encore, oui, encore, mon entre jambe, autant ses doigts saisissant mes boucles pour me pencher la tête sans ménagement le furent beaucoup moins. Sans être violence, elle n'avait pas compté jusqu'à cinq comme le faisait ma mère pour soigner nos bobos durant ma jeunesse.

- Outch ! Lâchais-je plus par surprise que par affliction que cette onomatopée m'avait échappé, je finissais par rire à ses moqueries. Le petit lapin, il veut bien te répondre mais t'as pas envie de le voir !

Ouais, on en revenait au même sujet. Mon sujet favori. Mon pénis quoi. Ma monture quoi, si c'est bien de ça qu'elle parlait ? Pour une fois que c'est pas moi qui vantait les mérites de mon engin... 

Elle semblait pas si fermée à mes avances finalement, même si elle voulait en donner l'impression. Bah ouais, personne te résiste longtemps Fifi... Ca, c'était sûr. Faut dire que si y'avait une compétition du meilleur baiseur de Pandore, j'gagnerai le trophée haut la main. J'm'en étais faite des donzelles, grosses, minces, vieilles, jeunes, moches, belles. Le palmarès était là quoi ! Et même si sa réaction fut un peu "brute" lorsque ma main effleura son fessier, aucune claque ne vint ravager mon joli visage. Même la bête effrayante qu'elle trimbalait semblait s'en amuser tandis que je pinçais la compresse sauvagement étalée sur mon tarin.

- Pourquoi tu m'prends pas au sérieux quand j'dis que j'suis sous ton charme beauté ?

Bah ouais ? Pourquoi ? Non, j'déconnais, j'savais bien pourquoi. Ca faisait trop longtemps qu'on se connaissait pour pas qu'elle sache que j'pouvais pas m'empêcher de la jouer pareil avec toutes les demoiselles ou damoiseaux qui me passaient sous les yeux. 

Bon, je l'aurais pas avec mes fausses tentatives de jouer l'amoureux transit mais ça m'empêchait pas de continuer à m'hasarder à tenter de poursuivre, continuer d'espérer que ce ticket d'entrée dans son appartement que je venais de gagner puisse me faire gagner son entre-jambe personnelle. Ca m'embêterait de dormir sur la béquille en étant aussi proche d'une donzelle aussi bonne. 

Sauf que déjà, Faye refaisait déjà preuve de distance, à sa manière évidemment, en me sussurant des mots, d'une manière qui me donnait envie de lui agripper les hanches, avant de voir le tampon me filer sous le nez.

- T'es vraiment pas cool sérieux ! Moi qui suis si adorable ! Répondis-je tout en continuant d'observer le mouvement de balancier du coton anti menstruation avant de le lui arracher des mains, laissant la compresse qui m'ornait le pif retomber sur mes genoux et de m'enfiler le tampon dans une des narines. J'suis déjà sage ! Répondis-je en secouant la tête pour que le fil du tampon viennent me fouetter les joues, dans l'espoir de la faire rire. Parce qu'une nouvelle fois, femme qui riait... Enfin bref, on connaissait tous le proverbe, sauf que c'était dans lit personnel que je voulais finir pour le coup. T'en as pas un deuxième ? Histoire que j'ressemble à Babar ? De l'ivroine anti glouche ! Tu viens d'inventer un truc putain ! Anti-saignement aurait été un terme plus adapté mais bon, elle allait pas choquer pour l'utilisation d'un terme un peu désuet autant qu'il était dégueulasse alors que c'est elle qui avait voulu jouer à ce petit jeu. En tout cas dans l'nez, c'pas top pour jouir, j'aurais p'tet dû me l'enfiler dans l'fion pour plus de sensation !
Dim 23 Aoû - 18:24
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Beau parleur, baratineur, coureur, des tas de truc se terminant par « eur » lui allaient parfaitement bien à ce garçon, mais certainement pas au point de piéger son petit cœur de jouvencelle encore éprise d'un type qui, malheureusement, n'aurait plus jamais l'occasion de lui offrir ses plus beaux sourires. D'ailleurs, alors qu'elle lui agitait l'ustensile hygiénique sous le nez, comme s'il s'agissait d'une véritable souris prête à se faire grignoter par un gros matou, Collins sentit cette même pointe, acérée et presque acide, lui transpercer le palpitant. Pourtant neutre, habituée à sourire sur commande et à laissait penser que tout allait parfaitement bien pour elle, dans le pire monde qui soit étant donné l'état parfois déplorable de Pandore, cette fois une lueur plus mélancolique traversa ses prunelles bleues au point qu'elle le laissa lui subtiliser le tampon, se le coller dans le nez, puis se redressa sans réellement sourire malgré le sordide de la situation.

Ses cils dévièrent vers la mallette d'où elle avait extirpé le nécessaire et déjà ses mains réorganisaient l'intérieur de cette dernière sans plus cet éclat joyeux, presque lubrique lorsqu'on ne la connaissait pas suffisamment, qui la caractérisait et faisait d'elle une jeune femme vivante, pétillante, toujours prête à rire et à profiter de l'existence telle que la vie la lui présentait.

J'suis déjà sage ! Un bref petit rictus lui échappa alors qu'elle le voyait agiter le minois, comme un gosse d'une dizaine d'années désireux d'amuser sa baby-sitter, mais rien de bien flagrant ne jaillit d'elle alors qu'elle rangeait enfin le nécessaire et refermait, comme avec un poids immense sur les épaules, l'armoire de laquelle elle avait sorti de quoi lui tamponner le nez. Elle n'avait rien inventé, cette manière de faire face aux saignements de nez existait depuis des lustres, puis, même si elle en était à l'origine, qu'est-ce que ça ferait de plus au juste ? Tu pourrais déposer le brevet et te faire plus de crédits ? Amusée par ses propres pensées qui tentaient de la tirer de cette noirceur dans laquelle, sans même le vouloir, sans même le savoir puisqu'elle ne lui avait jamais rien dit, Benjamin l'avait enlisée en passant l'arme à gauche, Faye inspira à en hausser les épaules, puis replaça son masque guilleret sur ses traits de poupée psychédélique avant de lui faire face à nouveau.

- Si j'avais inventé ce système D, tu crois que j'serai autant à sec côté compte bancaire ? Moue aux lèvres, elle claqua la langue dans sa bouche puis roula des yeux avant de l'inciter à se remettre sur ses pieds. Et tu fais bien c'que tu veux …. Je dois en avoir chez moi d'ces trucs … Alors si cette nuit ça te démange, tu sauras quoi faire, hein Dudule ? Enjambant sa boule de poils, cette dernière toujours affalée au seuil de la salle, Collins agrippa sa veste rouge et bleu au passage et l'enfila avant de faire volte face pour remarquer que Ed, dans sa nonchalance théâtrale, venait de se redresser sur ses quatre pattes pour lui barrer le passage. Vrai que l'animal n'avait encore jamais vu personne l'approcher de si près, sinon Declan, davantage encore qu'aucun homme n'avait jamais foutu les pieds chez elle et n'avait osé la suivre, pour la draguer ou encore lui parler, vers le parking. C'est rien Eddy, Fifi est notre invité ce soir, il va dormir à la maison, t'as rien à craindre. L'animal l'observa avant de la suivre, glissant amicalement sa grosse tête sous la main de la blonde pour lui signifier qu'il était là, qu'il veillait sur elle et qu'il ne laisserait pas leur invité jouer les mains baladeuses ou les somnambules occasionnels. Veste sur les épaules, Collins empoigna sa batte, manquant certainement de lui en fiche un coup au vol, avant de rouvrir la bouche. Tu sais que j'suis pas comme toutes celles que t'endors avec tes …. bref j'sais même pas comment c'que tu baves peut faire s'dire aux filles que « oui », elles pourraient penser à faire un bout d'chemin avec toi mais ….... tout ça pour dire que, t'as d'la chance ! J'suis pas comme elles et, au moins j'te supporte pour c'que t'es alors, Marquant une pause, elle le poussa avec la batte et la tendit entre eux en arquant les sourcils. m'fais pas regretté de t'aider c'soir, d'acco d'acc ?
Ven 4 Sep - 14:34
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Ouais, du coup, vu sa réplique et l'air un peu moins enjouée qu'elle affichait, ma blague avait pas fait mouche et j'deviendrais pas éléphant en m'enfilant un second tampon dans le nez. 

Bourré ou pas, j'avais un foie expérimenté et un cerveau encore clair même à plusieurs grammes alors c'était pas dans cet état de non alcoolémie que je manquais de repérer un certain malaise sur le visage de cette petite bombasse.
On me la faisait pas à moi quand j'avais à peine bu deux verres... Le problème, c'est que d'habitude, j'en avais rien à branler de voir quelque chose de louche sur le visage d'une fille, tristesse, détresse... Tant qu'elle me pompait le dard sans mettre les dents en évitant d'me raconter leur soucis, ça m'allait bien. Parce que j'en avais bien rien à carrer de toute façon. Mais là, c'était... Différent.

J'ressentais comme un léger malaise, ou un léger blocage. Le problème, c'est que j'savais pas comment aborder le sujet, ni même si c'était une bonne idée. Mais un sentiment bizarre me parcourait l'échine. Comme si l'espace d'un instant, c'est plus ce que j'avais cru lire sur son visage qui prenait le pas sur mon envie de la sauter comme jamais... Ouais là tu délires mon frère...

Mais grâce à l'Ange, la blondinette, la grisonnante pas vieillissante,  la bleutée, la rosette ? Ouais non là, ça faisait vraiment morceau de viande même si j'lui boufferai bien une partie du corps... Enfiin, j'en savais fichtre rien et j'm'en branlerai bien là tout de suite parce que j'voyais qu'une bombasse qui se retournait et essayer de faire bonne figure après avoir eu un instant d'absence... Instant d'absence et de tristesse de mon ressenti... Ouais, d'habitude ça aide pour baiser facilement, mais c'est Faye Collins mec, ça marche pas comme ça avec elle. Ouais, donc je préférais en faire fi, comme si je n'avais rien vu et répondre par la sottise, comme elle le faisait.

- J'sais pas trop, deux tampons dans l'pif pour soulager le saignement d'un beau gosse comme moi ? Tu penses que ça vaut un brevet, sinon j'aurais réclamé ma part !

Enfin, l'ambiance semblait revenir à la rigolade. Et c'était tant mieux pour moi et mes espérances vu la fille à qui je faisais affaire. Puis on en revenait au même sujet, mes envies d'enfiler ou d'me faire enfiler et ça, c'était un sujet que j'maîtrisais. Surtout quand il s'agissait de changer les idées tristounettes qui avaient pu traverser l'esprit d'une amie... Pas vraiment amie puisque tu veux lui faire des cochonneries... Mais amie quand même, pour le moment, amante, si j'y arrivais un jour, seulement, ça me faisait plaisir qu'elle reprenne ce masque pour m'éviter à avoir à aborder des sujets épineux. Je kiffais pas ça. Mais genre pas du tout. 

- Me les enfiler dans l'fion ouais, j'espère que t'as une boîte complète parce que j'aime ça !

Enfin, l'atmosphère détendue, je suivais la gonzesse de mes rêves du jour sans me laisser désirer, me laissant guider, tout en me méfiant du bestiau qu'elle calmait à coups de caresses pour lui expliquer que je représentais aucun danger pour elle et qu'il fallait pas m'bouffer les burnes. Manquerait plus que ça, ton outil de travail mon Fifi ! 

- Ouais, t'inquiètes pas... Euh... Pas foutu d'retenir le nom de machin d'une autre planète ! Faut dire qu'il faisait autant flipper que sa maîtresse, sans que j'ai envie de l'enfiler lui par contre, j'avais mes limites. Même si il aimerait bien dormir plus que juste à la maison.

Ma cible du jour poussa un soupir à peine audible, sans même se retourner pour rétorquer mais je sentais bien que j'avais dû gagner un sourire. Gagner le fait de la refaire penser à l'instant présent plutôt qu'à ce qui avait pu la travailler en me soignant. 

Enfin bref, on voguait, sans trop parler davantage pour le coup, sans qu'il y ait vraiment de froid, j'essayais juste d'imprimer le chemin personnellement pour la retrouver plus facilement. A l'occasion. Si j'arrivais pas à conclure ce soir. Et en parlant de conclure ce soir, la blondigrisounette m'arrêta, batte sous la gorge, comme menaçante tout en restant... Bah Faye connard ! ... à l'angle d'une ruelle

- Hey, calmos Fayifaye ! T'es tarée ! Tu m'aides, je te rendrais la pareille, c'est tout !

Enfin ouais, ok, c'était clair que j'espérais plus et que là, elle m'avertissait clairement que malgré son accueil, j'pouvais vider mes couilles dans ses toilettes devant un bon porno mais... C'était plus ou moins vexant vu le malaise que j'avais semblé partager avec elle, une vingtaine de minutes plus tôt. 

- J'vais pas... Tentais-je de m'expliquer avant que le bout de son arme me fasse reculer d'un demi pas. Faye putain... J'ai une tête de violeur ? C'est quoi ton délire là ?

La question était à se poser ? Elle le savait, c'que j'attendais d'elle, que j'rêvais que de me la taper, mais j'avais promis de rester sage avant même que l'accord soit conclu en choppant ces connards de tricheurs...

- Ecoute, si tu l'prends comme ça, je peux me démerder hein... J'suis un dragueur ok... J'avoue. J'te sors les mêmes compliments, les mêmes conneries qu'aux autres parce que je sais faire que ça. Avouais-je en abaissant, doucement, ce bâton de métal qui nous séparait et l'approcher, sous l'oeil attentif de la boule de poil qui ne rêvait probablement que de me bouffer le gland, lui glissant l'index sous le menton, avec douceur, et relever sa tête, pour l'obliger à ancrer les yeux aux miens. J'vais pas t'mentir parce que t'es pas conne Faye, mais justement, y'a un truc chez toi qui fait que c'est pas des conneries quand c'est pour toi...

Reculant de deux pas, un demi de plus que la distance qu'avait mis sa jolie batte entre nous, je reprenais, peu fier et adepte des sentiments, à la manière Dustriel histoire de retrouver un peu de la fierté que j'avais perdu en me montrant... Mignon ? Pouah ! Essaye de la baiser et barre toi connard ! 

- Enfin bref... Oublie, tout c'que j'veux te dire, c'est que tu finiras par vouloir un coup de zizi de tonton Dudule comme tu m'appelles ! Repris-je en un clin d'oeil qui ressemblait plus à mon image habituelle, balayant le minimum de douceur dont j'avais fait preuve, honteux. Alors c'est toi qui choisit Fafa ! Tu m'héberges ou tu m'héberges pas !
Sam 5 Sep - 21:45
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Ça devait être clair entre eux, limpide comme de l'eau de bidule chose, … de roche Faye. De l'eau de roche. Mouais, bha peu importait, tout devait être clair entre eux au delà des quelques plaisanteries douteuses qu'il pouvait faire, ou dire comme si tout lui était acquis, ou dû, un peu comme sa pauvre bonne-femme qui n'avait pas conscience du coureur, dragueur invétéré, qu'il était. Ou peut-être bien qu'elle le sait et ferme les yeux... Y songeant, elle esquissa une brève grimace car elle, elle même n'était pas de ce genre là, d'ailleurs elle n'y connaissait rien sinon ce qu'on lui avait dit de l'amour, de ce que Benjamin lui avait inspiré là dessus sans jamais savoir que oui, il aurait suffi qu'elle soit plus franche et honnête envers elle même, envers lui même, pour que leur relation soit totalement différente de celle qu'il avait laissé derrière lui en fermant les yeux pour le reste de sa vie à elle. Son cœur sembla battre de travers une seconde alors qu'elle tenait la batte entre eux, que Ed revenait près d'elle comme pour l'apaiser, la rassurer, alors qu'elle perdait pied, sans crier gare, face à un type qui, bien que croyant la connaître, ne savait rien de plus que ce qu'elle avait bien voulu lui dire sur son compte.

Firmin n'y pouvait rien, il ne savait rien à ce sujet, ne connaissait rien de Benji, ne connaissait rien de sa douleur, alors sa réaction lui semblait sans doute excessive alors que pour Declan, tout cela aurait été parfaitement normal, comme elle était normale aux yeux clairs de Shelby. Réalisant alors à qui elle faisait face, Collins baissa lentement son arme et l'écouta reprendre. Est-ce qu'elle venait de lui faire peur ?

- J'suis pas tarée Firmin, juste …. Juste rien du tout, il ne comprendrait pas, ne saurait pas faire preuve de compassion ou de réelle douceur à son égard même si là, en l'entendant reprendre, elle fronça les sourcils, surprise d'entendre pareils mots dans le creux de sa bouche. Elle lui avait fait peur oui, il était surpris et c'était suffisant pour qu'elle assimile que oui, au delà de ce qu'il la pensait être, au delà du reflet qu'elle offrait à tous ceux qui l'entouraient, Dustriel n'avait aucune idée du mal et des douleurs que dissimulaient ses attitudes joyeuses, enjouées, même les blagues de ses prestations scéniques. J'ai pas dit ça, mais disons que t'as tendance à être …. j'sais pas lourdingue ?

Sans doute oui, et peut-être parce qu'elle ne comprenait pas pourquoi on pouvait être si porté sur « la chose ». Après tout elle n'avait jamais expérimenté et n'en avait pas la moindre envie, on ne faisait pas ça pour dire de le faire à ses yeux, on le faisait parce qu'un trop plein de sentiments ne pouvait être exprimé que corporellement... sans doute ? Ça aussi l'éboueur n'en avait aucune idée, aussi se racla-t-elle la gorge et le laissa-t-elle reculer un peu alors que Ed les observait l'un l'autre, un peu comme s'il attendait un geste de la part de sa propriétaire pour sauter à la gorge de celui qui, parce qu'elle avait tendu l'arme entre eux en guise de barrière et de mise en garde, était devenu un ennemi duquel il devait se méfier. Dans ses mots pourtant, elle pointa du doigt un certain malaise, comme une sous estimation de soi, quelque chose qui la poussa à avoir de la compassion pour lui alors que, jusqu'ici, elle ne voyait de lui qu'un gai luron lubrique et amateur de choses dont elle ne voulait rien savoir sans être sûre d'elle, sans être amoureuse. Piquée au vif, son air se radoucit donc, sa main libre glissa aux oreilles de l'animal pour le calmer et elle rouvrit la bouche.

- J'suis désolée, je m'excuse, je pensais pas que t'étais si mal dans tes loques. C'était gênant, mais par ailleurs, il venait de piquer sa curiosité. Elle n'avait rien d'une juge, loin de là, elle préférait se faire témoin que d'avoir à juger le comportement des gens. Tu sais pas faire que ça d'ailleurs... Reprit-elle après avoir roulé des yeux quand il redevint, sans aucune hésitation, le lourdingue connu de tout Pandore ou presque. Replaçant la batte sur son épaule, elle fit volte face et poursuivit sa route afin de rejoindre son minuscule appartement. tu sais aussi vider les poubelles, et ça c'était gratuit, mais uniquement parc'que t'es lourd avec ton engin ! Autant le dérider un peu, pas son engin mais lui là, lui qui venait de lui faire entrevoir une facette qu'elle ne connaissait pas mais qui l'intriguait davantage que le type qui était réputé pour encorner sa femme et pas de la bonne manière. Suis moi grosse andouille, enfin si tu sais marcher vu qu'ça m'a l'air d'être si énoooorme que ça empiète aussi sur l'cerveau. Légèrement sarcastique, une fois au bas des marches de métal qui menaient à sa bicoque, elle grimpa sur l'une d'elles et se tourna pour lui offrir un sourire un brin moqueur. J'm'en fiche de ton attirail, j'me fiche d'tout ça … je préfère l'type que j'ai eu d'vant moi y a pas deux minutes mais qui s'est tiré la queue entre les pattes, c'est lui que j'héberge ce soir, alors, c'est okay ? Il pouvait lui montrer sa bonne version, le type avec qui on pouvait visiblement discuter, ou alors tourner les talons et retourner raconter des craques à celle à qui il avait passé une alliance pour on ne savait quelles bonnes raisons.
Mar 8 Sep - 16:55
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Pas tarée qu'elle disait ? Elle avait beau avoir baissé son arme, moi, j'étais toujours froissé par ce mouvement, violent sans l'être, sauf qu'elle engageait de bon argument en avançant le fait que je sois un gros lourd...

Ouais, ça, c'est pas faux... Tu peux que lui accorder.

C'était un peu vexant, quand même, j'voulais juste la détendre, qu'elle me défonce juste pas la tête à la batte, que sa bestiole chelou qu'elle caressait du bout de l'index me bouffe pas le bout de zôb. Pas qu'elle lise dans mon esprit... Pourtant j'avais pas bu beaucoup mais ouais, ses mots résonnaient en moi, ses mots à elle. J'allais pas mal bordel de merde ! Y'avait aucun putain de mal à aimer le sexe, la drogue et l'alcool ! C'était la vrai vie justement bordel ! Se libérer de la réalité ! C'était chouette et je voyais pas où elle voulait en venir avec ses conneries même si ça m'détendait qu'elle baisse sa putain de batte et que boule de poil se détende la nouille par la même occasion. 

- Oh, content de te l'entendre dire ! Te reste plus que me laisser te le prouver !

Une reprise sur le ton décalé qui m'était propre ! C'était bien mieux que m'étaler sur ce que je venais de dire. Ouais, tu sais aussi donner de bon coup de rein ! Ta gueule ! Ouais mais si ! Ouais, quand elle disait que j'savais pas faire que ça, avec la vue que j'avais, c'était la première chose qui m'était venu à l'esprit ? Normal non ?


- C'est bon, j'rigole ma belle, roule pas des billes comme ça ! Déclarais-je en reposant mes yeux sur son p'tit fessier qui s'baladait de droite à gauche en montant les marches. Ca c'est joli ! Oh oui ! Monter les marches et continuer d'avoir un visuel sur ce joli petit cul bien formé même si c'était mort pour ce soir. Plaisir des yeux comme on dit... Ouais, comme on disait, même si j'lui aurais bien mis une cartouche. Et oralement, je ne m'en cachais pas, pendant que madame est retournée et me traitait d'une charcuterie que j'aurais aimé lui offrir. Oh oui, une grosse andouille... Pleine de sauce à l'intérieur poupée ! 


Enfin, arrivé au pas de la porte, mademoiselle bleu d'un côté, rose de l'autre sur ses cheveux légèrement grisonnants m'avertit de nouveau concernant les intentions qui m'avait repris en la suivant... Ou plutôt le mouvement de balancier involontaire de son joli p'tit cul pour me rappeler les règles que j'avais accepté en dévoilant un peu du vrai moi. Ca me fit frisonner légèrement... Fallait encore que je sois sincère... Moi ? 

- Ouais... Lâchais-je, baissant le regard, chose qui me ressemblait peu. Mais j'avais déjà accepté préalablement. Son lit m'était interdit, c'était ok. De toute façon, j'étais en position de faiblesse après lui avoir avoué qu'elle m'intéressait plus que les autres... C'était p'tet de ça qu'elle jouait. Mais dans ce cas là, tu joues pas non plus ok ? Je chauffe vite alors tu joues pas là dessus, sinon c'est salaud et t'sais quoi ? Montrant la direction inverse, je poursuivis, j'préfère large dormir dans n'importe quel coin de la berge, quitte à m'faire bouffer par les moustiques et même pire s'il faut...

Parce que si elle avait posé ses bases, la connaissant, j'voulais poser les miennes. Ok. C'était pas chez moi. Ok, elle était bien gentille de m'acceuillir ! Mais si comme elle le demandait, elle voulait voir, ce foutu bouffon que j'avais été en lui avouant mon petit engouement pour sa personne, supérieur à une simple envie de baiser, c'était pas pour qu'elle en joue.

- Alors c'est ok, si tu joues pas avec ce que je viens de t'avouer ? J'rigolerais pas avec ça, j'ai pas l'habitude qu'une fille me plaise... Vraiment ? C'était ça le mot. Y'avait pas que son corps, son cul, ses seins ou quoi. Même parfois, l'attitude de certaines demoiselles ou damoiseaux me plaisait plus que leur physique... Chez elle c'était un tout. Mais un tout difficile à assumer pour moi. Bref... T'oublies comme j'ai déjà dit, t'en joues pas, c'est tout, ok ? Sinon j'me démerde, ça me dérange pas...

C'était déjà un pas que j'avais jamais franchi de ma vie avant ça. Regarder une gonzesse dans les yeux et lui avouer, en toute putain de sincérité qu'elle me plaisait vraiment. J'avais même envie de revenir là dessus... Mais en même temps... Non... 

- Ecoute ! Oublie, j'me casse, j'peux pas !

Faisant volte face sans un regard de plus pour elle, je commençais à remonter les escaliers qui conduisait chez elle quand je sentis son bras sur mon épaule... Un regard, un simple regard encore et cette petite fouine m'avait.

- Ok... C'est bon, ça veut dire que t'es d'accord, tu me provoques pas en petite tenue non plus ? Réclamais-je, sourire aux lèvres, légèrement... Enjoué qu'elle m'ait retenu. Même s'il ne se passait rien ? Peut-être qu'elle aussi voyait autre chose que le dragueur invétéré... Le type qu'elle venait de voir. Moi, ça m'va dans ce cas et toi ?
Mer 9 Sep - 2:00
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